Europa Universalis à huit, Tour 10

 

Europa Universalis

Almanach

Période 1520 - 1559

Tour 10 (1535-1539)

Phase des monarques :

 

Le doge Gritti remplace le doge Grimani pour VENISE. J’envoie les nouvelles caractéristiques au joueur concerné, qu’il modifie sa Fiche Pays en conséquence, il va également recevoir sa nouvelle Feuille de liaison diplomatique.

Que le joueur de la RUSSIE ajoute un point à toutes les caractéristiques d’Ivan IV encore un jeune enfant sous la tutelle de sa môman et de ses tontons.

L’arrivé du doge Gritti ne modifie pas le classement :

1.        TURQUIE.

2.        POLOGNE.

3.        ESPAGNE.

4.        FRANCE.

5.        ANGLETERRE.

6.        VENISE.

7.        RUSSIE.

8.        PORTUGAL.

 

Le PORTUGAL voit sa technologie terrestre passer en « Renaissance », car la technologie des états « latins » avance d’une case. Que Jean III ajoute de l’artillerie dans ses forces (en échange d’une infanterie) et inscrive dès à présent le surcoût de mise à niveau en cellule F45 de sa Fiche budget. Un petit coup d’œil en cellule L37 de la Fiche pays lui sera utile pour voir combien il doit dépenser.


Phase de d’événements :

 

Evénements économiques :

TURQUIE : « Complot à la cour » Soliman voit ses caractéristiques diplomatiques réduites à 1 ce tour uniquement. Que le joueur turc note cela dans sa Fiche pays.

POLOGNE : « Héritage dynastique » Sigismond reçoit un +5 en diplomatie pour influencer un mineur vassalisable présent sur sa piste diplomatique, en « Mariage Royal (MR) » ou plus.

ESPAGNE : « Pertes navales » Charles Quint perd 16 Navires ou l’équivalent en Galères (1 N = 3 Gal) sont perdus.

FRANCE : « Conquistador » François Ier reçoit un conquistador parmi les pions (?) français disponibles. Qu’il me dise où le placer, sachant qu’il peut être posé sur un fort.

ANGLETERRE : « Enthousiasme pour l’armée » Henri VIII reçoit 15 infanteries et 5 cavaleries gratuitement ou 1 niveau de technologie terrestre. Henri VIII choisit le terrestre, il passe au niveau 12.

VENISE : « Complot à la cour » le doge Gritti semble contesté, il voit ses caractéristiques diplomatiques réduites à 1 ce tour uniquement. Que le joueur vénitien note cela dans sa Fiche pays.

PORTUGAL : « Epidémie » le revenu brut de Jean III pour ce tour baisse de 20% ! F36 de la Fiche budget.

RUSSIE : « Vague d’obscurantisme » Bébé Ivan voit sa Stabilité baisser d’un niveau et passer à -1. Les boyards profitent de la minorité du tsar pour comploter dans le dos de la régente Héléna.

 

Evénements secrets :

Communiqué aux joueurs par Dieu.

 

Evénements politiques :

« Acte de Suprématie » l’ANGLETERRE ayant fait le choix d’être conciliante vis-à-vis de la religion protestante au Tour 8 (1525-1529), elle devient protestante. La Stabilité anglaise baisse donc d’un niveau et passe à 2. 150 D£ sont ajoutés au TR d’Henri VIII en raison de la sécularisation des biens de l’Eglise. L’ANGLETERRE a 1 action de Colonie/Comptoir minimum jusqu’à la fin de la période II (1520-1559), 2 minimum par tour ensuite. Qu’Henri VIII modifie dans sa Fiche pays les limites de Tour et de Période (si cela n’y est pas déjà mentionné).

Un explorateur est reçu à ce tour (comme par l’évènement économique 41). Je le place à Londres.

Le nombre de révolte est doublé à chaque fois qu’une révolte survient en Angleterre, jusqu’à la fin de la période III (1559-1614).

L’ESPAGNE, le PORTUGAL et VENISE ont un CB temporaire immédiat contre l’ANGLETERRE.

« Fin de l’Union de Kalmar » le DANEMARK et la SUEDE se séparent et forment deux royaumes différents. Le pion diplomatique SWEDEN apparaît dans « Les Neutres » et de la diplomatie peut être exercée dessus. Le pion « Union de Kalmar » est enlevé de la carte.

« Evénement révolte et diplomatique » Tensions religieuses dans l’Islam, tous les mineurs musulmans ont un malus de +3 à leur test de fidélité. La SAXE ainsi que l’ECOSSE, la TOSCANE, les CHEVALIERS, la HESSE et ASTRAKHAN sont testés.

 

Jacques V d’ECOSSE sort un total de 11 sur les deux dés contre une fidélité de 16. Donc, pas de conséquence.

Pour la TOSCANE d’Alexandre de Médicis, un total de 11 pour une fidélité de 16. Idem.

 

Didier de Saint Jalle

Pour les CHEVALIERS, un 10 sort pour une fidélité de 16. Rien. 

Un total de 16 sort pour la HESSE de Philippe Ier, dont le seuil de fidélité est de 14. La HESSE repasse en « Neutres ». Qu’Henri VIII enlève la HESSE de sa Fiche pays.

Enfin, ASTRAKHAN sort un 9+3 de malus = 12 pour une fidélité de 14. Rien.

 

Phase diplomatique :

Henri VIII décide d’utiliser son évènement secret « Révolte » sur l’ESPAGNE afin d’y générer des troubles, mais un dé 3 sort, la révolte prenait souche sur un 4+…

La FRANCE n’étant plus la seule puissance majeure à être désormais tombée dans le protestantisme, François Ier récupère le droit d’exercer sa diplomatie sur les états mineurs, hormis la PAPAUTE. Bien entendu, le malus de religion différente de -4 jusqu’en 1614 s’applique à lui et Henri VIII d’ANGLETERRE pour la diplomatie sur les états catholiques.

Je rappelle à Henri VIII qu’il doit modifier sa religion dans sa fiche pays (cellule D11).

Le doge Gritti doit bien penser à modifier ses valeurs de monarques dans sa Fiche pays.

Tous les souverains doivent inscrire leur évènement secret reçu dans la Fiche pays, dans le tableau dédié en cellule Q5.

Je rappelle que les états protestants sont matérialisés par un petit point gris dans chaque province de la carte européenne, avec une inscription « PRT » dessus.

Je rappelle que les puissances catholiques ont un CB contre les protestants jusqu’en 1614 et inversement (Cf Fiche Diplomatie en cellule AE87).

 

Négociations entre joueurs :

Je vous conseille de jeter un œil à la fiche diplomatie de votre Feuille de jeu si vous voulez effectuer des accords et autres alliances avec d’autres joueurs.

 

Déclarations d’alliance, de guerre, refus de commercer :

Rien.

 

Actions diplomatiques sur les mineurs neutres :

Soliman, à cause de l’événement « Complots à la cour » s’abstient de toute action diplomatique ce tour pour la TURQUIE. Sigismond de POLOGNE se réserve pour les mineurs contrôlés. Le doge Gritti aux prises avec les mêmes difficultés que Soliman, s’abstient également de toute action diplomatique.

 

Charles Quint de son côté, exerce son influence sur l’ECOSSE que choisit également d’influencer Henri VIII. L’ESPAGNE remporte l’influence, favorisée par la même religion et un investissement conséquent. Elle vassalise le royaume de Jacques V. Que le roi d’Espagne ajoute les provinces écossaises dans ses provinces vassales du Tour 10 ainsi que la flotte de commerce en ZM North Sea : TYNE (5 D£), SOLVAY (7 D£), HIGHLANDS (4 D£), HEBRIDES (3 D£).

Charles Quint décide ensuite d’une action sur BADEN qu’il passe sur sa piste diplomatique en « Corps Expéditionnaire ».

François Ier mise sur la HESSE de Philippe le Magnanime qui passe en « Corps Expéditionnaire » sur la piste française.

 

Actions sur les mineurs déjà influencés :

Sigismond insiste auprès du Grand-Maître des chevaliers Porte-Glaive et utilise le bonus de +5 reçut à la phase d’événements du début de tour, ce qui lui permet de vassaliser l’Ordre en question. Que le roi de POLOGNE ajoute les provinces de NEWA (3 D£), ESTONIA (4 D£), LIVONIA (5 D£), COURLANDE (6 D£) et MEMEL (4 D£) dans les provinces vassales de sa Feuille de jeu du Tour 10 (F25).

   

La TRIPOLITAINE passe en vassal de l’Empire ottoman. Que Soliman ajoute la province de TRIPOLI à ses revenus des vassaux.

Une action est tentée sur le PALATINAT (PFALZ) mais échoue. Le PALATINAT offre 53 D£ en subsides à Londres. Qu’Henri VIII note cette somme en H16 du Tour 10.

VENISE reçoit un don de 2 D£ des cantons suisses. Que le doge Gritti inscrive ce montant en H16 de l’onglet du Tour 10.

Héléna Glinskaïa fait passer la GEORGIE en « Alliance Militaire » au profit de son fils Ivan IV. Bon je vais enlever les tétines, car il grandit vite le rejeton.


 

Phase de revenus :

 

Prix des ressources exotiques :

Ils ne bougent pas ce tour.

Charles Quint contracte un prêt, tout comme Soliman.

Comme d’habitude, vous effectuez les copier/coller du tour 9 au Tour 10 en prenant en compte les modifications apportées lors de la phase administratives du tour précédent si vous avez acquis des niveaux supplémentaires lors de cette phase.

 

 

Phase administrative :

 

Logistique :

Maintenance : les états paient l’entretien des troupes au-delà de leurs forces de base. Les mineurs reçoivent des renforts soit en attitude « offensive » « défensive » ou « navale », au choix des joueurs.

Achats :

Soliman recrute une Armée (+) en THRACIA et une Armée (-) en ANGORA. Ces deux armées sont conscrites. Une Flotte (+) apparaît à Constantinople. L’AL DJAZAÎR peut toucher 2 DT et une campagne multiple. Une Armée (+) apparaît donc en province d’Al-Djazaïr et un DT à Bône. La CRIMEE recrute un DT qui se place en KERCH. Que Soliman n’oublie pas de payer la maintenance des troupes au-delà de la force de base de ses alliés.

Sigismond comble ses pertes et achète une Armée (+) placée avec lui-même en LITUANIA, 3 Détachements cosaques apparaissent en UKRANYA et KHARKHOW.

   

Cristoforo Grimaldi Rosso

La République de GËNES passe sa Flotte (-) au niveau (+) à Gènes.

Les forces papales voient apparaitre un renfort naval ainsi qu’un Amiral en Adriatique.

Charles Quint recrute 1 DT dans la péninsule ibérique, à Cadix. Une Armée (+) apparaît en NAPOLI. Il reçoit un niveau de forteresse à Brünn, deux DT dans la même ville (dont un impérial) pour les HABSBOURG, ainsi qu’une Armée (-) en OSTMARK.

François Ier achète une Flotte (-) placée à Brest.

Henri VIII se tourne vers le marché du mercenariat pour acquérir un conquistador, il paie 10 ducats et y réussit.

Almeida se place sur le comptoir de Madras.

 

Actions administratives :

Soliman effectue une avancée technologique terrestre de deux niveaux, le faisant passer en case 17. Un niveau de flotte de commerce est acquis par le sultanat d’Oman en ZM Oman Sea, ce qui fait passer ladite flotte en monopole partiel. Que le sultan ajoute ce niveau dans l’onglet du Tour 11 au niveau de ses flottes de commerce et 10 D£ en cellule L43 pour le monopole partiel.

Sigismond échoue dans sa tentative d’implanter un niveau de manufacture supplémentaire mais lève un impôt exceptionnel, la Stabilité polonaise passe à 1.

 

 

Charles Quint tente une action d’implantation de niveau de colonie en INCA avec Cortez, sur la province où il se trouve et réussit. Une colonie apparaît et commence à exploiter la mine locale. Que Charles Quint ajoute une colonie de niveau 1 avec un revenu de 3 Ducats et à même d’exploiter la mine de 20 D£. Une autre tentative de colonisation est effectuée avec le conquistador Coronado à Carthagèna, sur la province plus au Nord et côtière d’ORENOQUE : succès. Que le joueur espagnol ajoute un niveau à cette colonie et m’informe si elle atteint le niveau (+) (soit 4 niveaux). En ZP Espagna, le roi tente d’implanter un nouveau niveau de flotte de commerce mais échoue. Un dé 3 pour la flotte puis 8.

François Ier tente d’implanter une flotte de commerce en ZP France et de créer une colonie en AMERICA. Echec pour les deux…

Il augmente son niveau de flotte de commerce en ZP England et augmente son DCE, il tente de créer un comptoir en région QUEBEC avec succès. Que le roi d’ANGLETERRE ajoute un comptoir dans l’onglet du Tour 11 qu’il nomme comme il veut d’un niveau qui exploite une ressource exotique « peau » pour 5 ducats. Le monopole portugais sur la ressource exotique « peaux » s’arrête ici.

Le doge Gritti implante un niveau de flotte de commerce en ZM Black Sea avec succès. Ce qui passe donc se flotte de commerce au niveau (+) et 1 PV. En ZP Adriatic Sea, la guerre commerciale est enclenchée avec les marchands français, une action de concurrence est tentée conte la flotte de commerce française qui réagit mais vainement, la flotte de commerce française disparaît.

Enfin, le roi du PORTUGAL effectue une tentative d’implantation de flotte de commerce en ZP Indian Sea, afin d’y affirmer le monopole portugais dans la zone. Une tentative d’implantation de colonie à BAHIA, deux tentatives d’implantation de comptoir à Goa en MALABAR. Que le portugais me confirme ces résultats, mais apparemment la flotte augmente en Indian Sea, à BAHIA c’est un échec pour la colonisation et c’est un succès pour les deux implantations de niveau de comptoir à Goa.

 

Phase militaire :

Campagne simple pour Soliman le Magnifique, 20 D£.

1.        Le convoi de Smyrne quitte ladite ville portuaire pour rejoindre Toulon sur un dé 7+3 (mers traversées) -5 (Barberousse) en colonne 2. Pas d’usure. Les 50 D£ du convoi arriveront donc dans le TR de François Ier à la phase de redéploiement prochaine (cellule F50). Que le roi de FRANCE note cela dans sa fiche budget. De son côté, Soliman touche 20 D£.

2.        Le pacha Djamil quitte QUATARRA pour la CYRENAÏQUE. 3 PM.

3.        Le DT algérien de KABILIE se place à Alger. 1 PM.

4.        La pile commandée par le Khan de Crimée quitte KAFFA pour CRIMEA puis KHARKOV. 3 PM. Sigismond décide de rester et le général de remplacement cosaque (2.2.2) tente la tactique « Contre-attaque de flanc » mais échoue, se sera donc « Défense ». De son côté, le Khan de Crimée Sahib Ier Giray opte pour la tactique « Assaut », il n’y aura donc pas de modificateur tactique en faveur de l’un ou l’autre. 20 000 cavaliers conscrits cosaques s’opposent à 100 000 vétérans tatares… Il n’y a aucune artillerie de chaque côté et la technologie est « Renaissance » pour tous. Le Khan commence donc son attaque par un dé 7+2 (différentiel positif de choc des généraux) +2 (double de cavalerie en plaine) en colonne A = 35%** = 55 pertes (nous nous arrêterons à 20…). Les cosaques répliquent par un dé 6 = 10% des 40 PF polonais soit 4 pertes tatares.

Bilan de la bataille des plaines de Kharkov en ce 9 avril 1535 : victoire tatare, 20 pertes polonaises contre 4 tatares (dont 25% obligatoirement de cavalerie).

5.        Un DT tatare quitte CRIMEA pour KAFFA. 3 PM.

6.        Le pacha Mehmet quitte DOBRUDJA pour BUG. 4 PM.

7.        Beirleir Bey quitte Constantinople avec une Armée (+) et rejoint la SERBIA en passant par BULGARIA. 4 PM.

8.        L’autre Armée (+) à Constantinople se place en RUMELIA, laissant dans la capitale un simple Détachement Terrestre sur place. 3 PM.

9.        L’Armée (-) en ANGORA traverse le détroit des Dardanelles et se place en THRACIA, y intégrant le DT précédemment laissé là. Elle passe au niveau (+). 4 PM.

10.     Le DT en WALLACHIA se place en DOBRUDJA. 4 PM.

11.     Le pacha Bahaman et le DT qui l’accompagne quitte la CILICIA pour NICAE et THRACIA pour 3 PM, le DT est intégré à l’Armée (+) présente à Constantinople.

12.     Ali Bey et sa pile quitte ERBLAND pour PECS où elle intègre l’Armée (-) sur place et continue son chemin sur CARNIOLA. La tentative d’interception de la pile Habsbourg en AUSTRIA ne passant pas sur un dé 5+1 (ville amie), le mouvement d’Ali Bey se fait donc sans souci.

13.     Le DT algérien quitte CARINTHIA pour PECS où il rejoint les pachas Israf et Ismael et le DT valaque, puis l’ensemble continue sa route pour ERBLAND. 4 PM.

14.     L’Armée (-) en CARINTHIA quitte le siège de Loeben pour se placer en PECS où elle intègre le DT turc qui accompagnait le sultan lui-même. 1 PM.

15.     Le DT en MAROSZ se place en PECS et s’amalgame à l’Armée (-). 3 PM.

16.     Le pacha Yusuf quitte MAGYAR pour PECS. 2 PM.

17.     Enfin, Soliman le Magnifique himself se place en SERBIA avec Berleir Bey. 4 PM.

18.     Le DT d’ASTRAKHAN quitte ce port pour la CRIMEA. 2 PM.

Le Khan établi le siège devant la cité ukrainienne de Kharkov sur un dé 6-1 (valeur de la forteresse) = usure (-) et un dé 9 sort en colonne 1, soit 10% d’usure des assiégeants. Que le turc enlève ses pertes de sa pile. 

Sur Güns en CARNIOLA, un dé 6 sort pour le siège -2 (forteresse) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) +1 (facteur de siège du Vizir) = 8 soit Usure (+). Un dé 10 sort à l’usure des assiégeants -1 (vizir) en colonne 1 = 10% de pertes. Que Soliman enlève 10% des effectifs de sa pile.

 

Sigismond Jagellon, roi de POLOGNE décide d’une campagne simple. 20 D£.

1.      Sigismond quitte Wilno en LITUANIA pour SEWERIA puis SMOLENSK. Les russes ne tentent pas l’interception avec les deux piles à proximité en OREL et PSKOW. 4 PM.

2.    L’Armée (+) des chevaliers Porte-Glaive quitte la province de LIVONIA pour celle de SMOLENSK. Les russes ont la possibilité d’intercepter avec les deux piles mais s’abstiennent également. 4 PM.

3.       La pile polonaise en WORONES se porte en OREL pour 3 PM. Le dé de retraite avant combat est lancé (au cas où…) et c’est un 2, donc la retraite avant combat échoue. La bataille des sœurs Babouchka babouchki débute en ce 11 avril 1535 dans la forêt d’OREL. Les polono-ukrainiens sont vétérans et en technologie « Renaissance », tout comme les russes. La tactique des polonais est « Attaque de flanc » contre « Défense » pour les russes. Le général ?1 polonais choisit de placer 50% de ses forces dans sa marche de flanc, donc le premier jour, il n’aura à disposition que la moitié de ses effectifs.

L’artillerie polonaise du général ?1 ouvre le bal par un feu d’artillerie peu efficace en forêt, un dé 6-2 (forêt) en colonne C, ce qui ne donne rien. Les pièces russes répliquent mais le général ?1 est meilleur et son dé aussi : un dé 8-2 (forêt) +2 (différentiel positif de la valeur des généraux présents) = 10%* des 2 PF, soit 1 perte polonaise mais surtout un moral qui passe à 2. Au choc, le polonais sort un dé 8-2 (forêt) en colonne A = 10% des 51 PF disponibles (pour l’instant la moitié à cause de la prise de flanc) = 6 pertes russes. Le russe réplique par un dé 6-2 (forêt) en colonne A = 5% de ses 74 PF soit 4 pertes polonaises.

Remarque : la prise de flanc polonaise va déboucher et entraîner un +4 en faveur de l’attaquant polonais le second jour et pour l’ensemble de la pile. Helena Glinskaïa suggère à l’état-major russe de ne pas insister, la pile moscovite décide donc de retraiter sur TULA. 6 PM. Un dé 1-2 (valeur de mouvement du général ?1 russe) à l’usure permet à la pile de ne pas avoir de pertes. Un dé 7 à la poursuite sort +1 (différentiel positif de la valeur des généraux) -2 (forêt) en colonne E = 5% des 98 PF soit 5 pertes supplémentaires russes.

Bilan de la bataille de Babouchka babouchki : 11 pertes russes et 5 pertes polonaises. Défaite russe.

Que Sigismond et Ivan actualisent leur fiche militaire en retranchant les pertes, en notant le nouveau lieu où se trouve les pions. Que le roi de POLOGNE inscrive un point supplémentaire en G72 de sa fiche militaire pour sa situation militaire.

Les chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem se porte en ROMAGNA, à Ancône et y débarque un DT. Un dé 6-1 (valeur de mouvement de Didier de Saint Jalle le Grand-Maître) +1 (mers traversées de même niveau) en colonne 2 = rien, pas d’usure navale. 3 PM.

Le DT papal quitte le Saint-Siège pour le port d’Ancône en ROMAGNA. 1 PM.

   

Andrea Doria sort la Flotte (+) génoise en Gulf of Lion. Un dé 7 sort à l’usure navale -5 (mouvement de Doria) en colonne 2 = rien. La pile navale s’attaque aux corsaires tunisiens sur un dé 3 +4 (Flotte) +5 (Doria) -3 (corsaire) = 11. Le corsaire barbaresque tunisien passe au niveau (-).

Charles V de Habsbourg dit Charles Quint ordonne une campagne simple pour l’Espagne. 20 D£.

1.        La Flotte (-) quitte Cadix en ANDALUCIA avec un DT en cale, pour Carthagena en ORENOQUE, sur un dé 3-5 (valeur de mouvement du navigateur qui prend en charge la flotte après avoir quitté le port de Naples seul) +5 (mers traversées) en colonne 6-3 (port ami dans chaque mer) = pas d’usure navale.

2.        La Grande Armada quitte NAPOLI avec l’Armée en cale. Elle passe en Thyrenean Sea, Ionian Sea et Adriatic Sea pour débarquer à Zara, dans la province vénitienne d’ILLYRIA. 5 PM. Un dé 10 à l’usure navale sort -2 (valeur de mouvement de l’amiral espagnol) +1 (mers traversées) en colonne 5-3 (port ami dans chaque mer) = 20% d’usure navale. 1/3 seront récupérées au round 2, 1/3 au Tour 11. Que Charles Quint retranche ses pertes de sa fiche militaire et note ses récupérations futures.

3.        La pile de Tercios espagnoles en BAYERN se place à Linz en province de SALZBURG. 3 PM.

4.        En Amérique, De Soto tente la découverte de SONORA avec une Armée (-), ce qui est chose faite après un dé 3-6 (mouvement du conquistador). 12 PM. Une usure est lancée : dé 4-6 = rien.

Il décide d’attaquer les indigènes pueblos en utilisant la Table des conquistadors avant le combat (Y178 de la Fiche militaire) et sort un dé 8 en colonne 7-12 (qui sont l’addition de ses facteurs) = R100. Les 15 000 indigènes résistent. Il choisit la tactique « Attaque de flanc » qui passe sur un dé 8+6 (sa valeur de mouvement) contre « Contre-attaque de flanc » qui passe (le général indigène est 1.0.4), soi pas de modificateurs.

Au feu, l’artillerie espagnole sort un dé 3+2 (différentiel de feu des généraux) = 5%. 1 perte indigène. Au choc, les tercios se mettent en branle et aborde les amérindiens sur un dé 10+2 (cavalerie) en colonne A = 40%** des 26 PF espagnols = 11 pertes pueblos et un moral qui passe à -1, soit une déroute. Les indigènes répliquent par un dé 8+2 (différentiel positif de la valeur de mêlée) en colonne B = 25%** des 15 PF soit 4 pertes espagnoles (dont 25% de cavalerie car nous sommes en désert) et un moral qui passe à 2, car les ibères sont en « Tercios » et vétérans.

Suite à cette déroute les pueblos sont contraints à la retraite et sortent un dé 10-1 (valeur de mouvement du chef n°7) -1 (provinces amies) en colonne 7 = 60% de pertes ! 3 pertes supplémentaires indigènes. La poursuite est lancée par les espagnols sur un dé 9+5 (différentiel de manœuvre des généraux) = 14 soit en colonne E 30%*** le reste des indigènes disparaît.

Bilan de la bataille de Puebla en ce 18 avril 1535 : 4 pertes espagnoles et 15 indigènes. Victoire espagnole.

1.        Ferdinand de Habsbourg effectue une campagne multiple et ordonne à sa pile principale de quitter Vienne en AUSTRIA pour attaquer Ali Bey en CARNIOLA. Le général turc décide de tenir sa position, acceptant la bataille. Le général Habsbourg ?1 tente une « Attaque de flanc », un dé est lancé pour voir si l’ordre passe. Un dé 5+2=7, ce qui donne un échec, se sera un « Assaut » classique. Ali Bey choisit la tactique « Contre-attaque », le défenseur bénéficie donc d’un +1 au dé. Les piles sont vétérans, donc au moral de 3 pour tous, le Habsbourg n’étant pas en « Tercios », seulement réservé aux espagnoles et aux suisses.

La bataille du mont tabor débute donc en ce 13 avril 1535 par un tir des canons autrichiens sur les lignes turques : un dé 9 sort -1 (premier jour de bataille face à des turcs) en colonne C = 10%* des 8 PF d’artillerie, soit 1 perte et un moral turc qui passe à 2. Ali Bey réplique par un dé 3+1 (différentiel positif de la valeur de feu) = rien. Au choc, les autrichiens sortent un dé 1-1 (premier jour de bataille face aux turcs) = rien, tandis que les ottomans sortent un dé 6+2 (cavalerie en double) +1 (tactique « Contre-Attaque » ) = 25%**. Des 153 PF turcs soit 39 pertes autrichiennes et un moral qui passe à 1.

Le général Habsbourg décide logiquement de retraiter et se repositionne sur Vienne, tandis qu’Ali Bey reste sur place. 7 PM. Un dé 2 à l’usure -2 (valeur de mouvement du général) -1 (toutes les provinces traversées sont amies) = rien. Un dé 6 sort pour la poursuite +2 (différentiel positif de la valeur des généraux) en colonne E = 10%. 15 pertes supplémentaires !

Le général habsbourgeois est blessé dans l’affaire pour 7 rounds tandis qu’Ali Bey survit.

 

Que les joueurs retirent leurs pertes, sachant qu’au moins une artillerie est perdue pour l’autrichien et que 25% des pertes doivent être prise sur la cavalerie puisque la bataille se déroulait en plaine.

Bilan de la bataille du Mont Tabor le 13 avril 1535 : 1 perte ottomane et un moral à 2. 54 pertes autrichiennes et un moral à 1. C’est une victoire majeure pour Ali Bey et les ottomans qui remportent donc 5 PV, tandis que les espagnoles perdent le même nombre de points. +/-1 Stabilité.

2.        Les deux DT de MORAVIA se portent sur OSTMARK (avec un général de remplacement 3.2.1) et s’intègre à l’Armée autrichienne (+) qui s’y trouve, ce mouvement est susceptible d’être intercepté par le pacha Israf, du coup je lance le dé au cas où… un 3+1 (différentiel positif de la valeur des généraux) donc échec. La pile continue sur Presbourg et attaque la pile ottomane. 5 PM.

Les Habsbourg choisissent la tactique « Reconnaissance offensive » et les turcs « Défense », il n’y a pas de bonus tactique. L’artillerie autrichienne ouvre le bal de cette bataille de Braviandersdorf en ce 15 avril 1535 par un dé 7 en colonne C = 5%* des 4 PF disponibles, soit une perte ottomane et un moral qui passe à 1. Au choc, un dé 6 sort pour le Habsbourg -1 (premier jour de combat face au turc) en colonne A soit 5% des 44 PF impériaux = 3 pertes ottomanes. Le pacha Israf sort un dé 2+3 (différentiel positif de la valeur de choc des généraux présent) +2 (cavalerie) = 7 en colonne A. 15%* des 105 PF ottomans, soit 16 pertes…

Ferdinand ordonne au général de remplacement Habsbourg (un simple 3.2.1) de continuer ! Il a le moral face au meilleur pacha ottoman : Israf, qui bien entendu, reste.

En ce second jour de bataille, 22 000 impériaux vont affronter 66 000 ottomans et les premières salves crachent leurs boulets sur un dé 10 en colonne C, soit 20%** des 4 PF de feu disponibles = 1 perte et un moral ottoman qui passe à -1 ! La précision des tirs d’artillerie emporte le faible moral des conscrits turques qui quoiqu’il arrive partiront en déroute. Au choc, les autrichiens sortent un dé 6 en colonne A soit 10% des 28 PF qu’ils leurs restent soit 3 pertes ottomanes. Israf accuse le coup et réplique par un dé 6+3 (différentiel positif de la valeur des généraux) +2 (double de cavalerie) = 35%** de ses 100 PF, soit 35 pertes. Il n’y a pas de poursuite, les deux piles craquant au moral. Cependant l’armée impériale n’est plus, trop de pertes encaissées. La pile ottomane retraite vers la ville amie la plus proche : Presbourg, elle ne subit donc pas d’usure puisqu’elle ne change pas de province. La pile est hors-jeu et ne pourra plus bouger, ce qui ici n’a pas d’importance puisque l’initiative turque est déjà passée.

Bilan de la bataille de Bravianderssdorf : 8 pertes ottomanes contre 38 pertes impériales. Match nul, puisque les deux piles ont dérouté. Que le joueur ottoman retire 25% de cavalerie de ses pertes.

Une campagne passive est ordonnée par le roi de FRANCE. 10 D£.

Jacques Cartier découvre le Sénégal sur un dé 3 -2 = S sur la Table des découvertes (celluleAI178 de la Feuille de jeu). Le navigateur tente ensuite la découverte de Gulf of Gambia sur un dé 7-4=3 soit S* et 20% d’usure navale. Un test de « Disparitio » est effectué et le navigateur est blessé jusqu’au round 3. Il est placé sur la piste des rounds de la carte européenne. Que François Ier enlève ses pertes de son DN (1/3 récupéré au round 2, 1/3 au tour 11). Un point bleu est placé sur la région SENEGAL et en Bay of Gambia.

Le navigateur ?1 français tente la découverte de Gulf of Mexico après avoir quitté la CAROLINA et sort un dé 10-3=7 sur la Table des découvertes soit E 60% d’usure. C’est donc un échec et le DT subit 60% de pertes navales. Que le français enlève ses pertes immédiatement de son DN et note les récupérations à venir.

 

Henri le huitième décide d’une campagne simple. 20 D£.

Le conquistador mercenaire acheté par la couronne britannique se tente la découverte de la région des GRANDS-LACS sur un dé 7-4 (valeur de mouvement du conquistador) sur la Table des découverte (cellule AI178 de la Fiche militaire) = S* 20%. Une usure de 20% est subie sur le Détachement Terrestre et c’est un succès, la région est découverte. Un point rouge est placé sur la carte et un dé de « Disparitio » est lancé à cause de l’étoile. Un dé 5 sort et le conquistador est blessé. 12 PM.

Les anglais décident de la construction d’un fort, en attendant que le conquistador revienne de blessure.

Le navigateur ?3 quitte l’Angleterre pour se placer avec une Flotte (-) en Sea of Canarias sur un dé 3-3 (valeur de mouvement du navigateur) = pas d’usure navale.

Gritti, le doge de la Sérénissime République de VENISE, décrète une campagne simple. 20 D£. Que le doge note cette dépense dans sa Feuille de jeu, dans l’onglet du Tour 10, cellule O148.

 La pile navale située en Ionian Sea se scinde en deux : Une Flotte (+) se porte en Sea of Marmara et Black Sea pour bloquer le port de Constantinople et lutter contre les corsaires avec l’amiral 1 ? sur un dé 9-2 (valeur de mouvement de l’amiral) +2 (mers traversées) en colonne 4 = 40% d’usure. Une galère sur trois sera récupérée au round 2, une sur trois au Tour 11. Que le doge Gritti enlève ses pertes et note ses récupérations sur sa Fiche militaire. La seconde Flotte (+) se place en Ionian Sea avec l’amiral Grimani sur un dé 1 -4 (valeur de mouvement de Grimani) en colonne 5-3 = rien.

L’amiral ?3 tente une interception de ce mouvement sur un dé 3+2 (différentiel positif de la valeur de manœuvre des amiraux) -2 (Flotte au port) = échec. La pile turque ne bouge pas et se retrouve donc bloquée.

La pile terrestre en ISTRIA se place en CARINTHIA. 3 PM.

Ali Bey tente l’interception sur un dé 1+1 (différentiel positif de la valeur des généraux) -1 (l’intercepteur participe à un siège) = échec de la tentative.

Enfin, en Italie, le DT florentin rejoint le DT parmesan à Modena en PARMA.

Un dé 9 sort pour la lutte contre les corsaires en Ionian Sea +4 (valeur de mouvement de Grimani) +4 (Flotte (+)) -6 (pirates (+)) = 11. Un corsaire (-) est éliminé.

Rien pour les russes.

 

Jean II décide d’une campagne simple pour le PORTUGAL. 20 D£.

La pile en MAROC se porte sur ORANIA. 2 PM.

En Inde, le conquistador Almeida se porte en ORISSA, enfin tente la découverte de la région. Un dé doit donc être lancé sur la Table des découvertes en cellule AI178 de la Fiche militaire : un 7 sort -2 (valeur de mouvement d’Almeida) = ½ 40%. Les DT perdent donc 40% de leur effectif, que Jean III note ces pertes sur sa fiche militaire en les retranchant des détachements concernés. Un dé est relancé suite au résultat ½ : 7 à nouveau soit S*. Succès mais avec un test de « Disparitio » : un 3 sort donc, Alméida est blessé puisque le chiffre est supérieur à 2, valeur de mouvement du conquistador. Alméida est placé sur la piste des rounds de la carte européenne.

La Flotte (+) au comptoir de Malacca quitte MALAYA pour Southern China Sea, Straits of Malacca, Bay of Bengal, Central Indian Ocean et Coast of Malabar sur un dé 10-5 (valeur de mouvement du navigateur) +1 (mers traversées de même niveau) en colonne 6-3 (port ami dans chaque mer) = rien.

Le siège d’Oran est entamé sur un dé 3-2 (forteresse de niveau 2) -2 (port sans blocus) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) = 2. Rien. L’usure des assiégeant donne un dé 2 en colonne 1.

Les Détachements Terrestres portugais se trouvant en ORISSA à la fin du round, la tolérance des indigènes indiens est testée et un dé 6 sort. La valeur de tolérance sur la carte (3e chiffre à droite, soit 6 pour ORISSA) étant de 6, le dé 6 sorti n’est pas inférieur à la valeur de tolérance, donc, pas de réaction de la part des indous de la région, ils restent calmes.

Enfin, l’empereur aztèque réagit et décide d’attaquer les envahisseurs espagnols à Cacaodavocatepec, une vallée fertile dans les plaines de la côte, en ce 28 avril 1535. Il lance ses 300 guerriers conscrits « médiéval » à l’assaut de la pile ibérique. Les tercios sont vétérans et choisissent la tactique « Défense ». Pas de bonus tactique. Pizarro décide d’utiliser la Table des conquistadors (cellule Y178 de la Fiche militaire) pour la seconde fois et sort un 1+1=E33/D33/R33. 33% des aztèques sont éliminés soit 99 ; 99 résistent et 99 passent côté espagnol après avoir déserté.

Au feu, Pizarro sort un dé 9+4 (différentiel de feu des généraux) = 13 en colonne C soit 35%*** : 3 pertes aztèques et un moral qui passe à -2 derechef ! Quoiqu’il en soit ils partiront en déroute…

Au choc, les ibères sortent un dé 8+2 (cavalerie) en colonne A = 30%** soit 40 pertes indigènes et un moral qui passe à -4. L’empereur aztèque sort un dé 2 en colonne B. L’offensive des amérindiens est un échec total, il reste 56 000 guerriers à l’empereur Motecuhzoma III qui retourne sur sa capitale Tenochtitlan. Une usure est testée en colonne 7 et un dé 1 sort -1 (mouvement du général indigène) soit rien et un dé de poursuite est lancé : 2+3 (différentiel de manœuvre des chefs) +2 (cavalerie) en colonne E = 5% des 131 PF espagnols = 7 pertes supplémentaires. Motecuhzoma III n’a plus que 49 000 guerriers.

Bilan de la bataille de Cacaodavocatepec du 28 avril 1535 : défaite aztèque, 50 pertes contre rien.

 

 

Deuxième round (environ 1536) :

Campagne passive pour la TURQUIE. 10 D£ à retrancher du Trésor Royal.

1.        Le DT en DOBRUDJA se place en BUG et est intégré à la pile de Mehmet. 4 PM.

2.        L’Armée en RUMELIA, se place en DOBRUDJA. 3 PM.

3.        L’Armée (+) à Constantinople est dissoute et transformée en 5 DT, oui, le turc est limité à six pions d’Armées donc une correction était nécessaire. Les DT se portent sur MACEDONIA, ALBANIA et SERBIA. 4 PM.

4.        La pile de Djamil se porte en KABYLIA. 5 PM.

5.        Barberousse quitte Toulon pour se porter à Alger seul, une tentative d’interception d’Andrea Doria échoue sur un dé 8 et il arrive donc à bon port. Il prend en charge un DN et un DT algériens qui partent sous son commandement en Western Mediterean Sea et débarquent à Fez. La ligne de communication porto-marocaine est donc coupée. Il conviendra par conséquent que cette ligne soit rétablie avant le prochain round portugais, sinon, une retraite sera contrainte d’être effectuée vers Tanger. Un dé 7 sort -5 en colonne 5-3 (port ami) = rien. 4 PM.

6.        Le pacha Israf passe de ERBLAND en PECS. 2 PM. Le vénitien a la possibilité d’intercepter le pacha Israf en PECS où se trouve aussi une Armée (-) turque et le pacha Yusuf. Il laisse passer.

7.        Le pacha Ysuf quitte PECS pour ERBLAND. 2 PM.

8.        Le pacha Ismaël quitte ERBLAND pour PECS. 2 PM. Le vénitien a la possibilité d’intercepter le pacha Israf en PECS où se trouve aussi une Armée (-) turque et le pacha Israf. Il laisse passer.

9.        L’amiral ottoman Euldj Ali (oui j’ai interverti avec le ?3 qui ne peut être placé hors Méditerranée) quitte le port de Constantinople et attaque la Flotte (+) vénitienne. Un dé 7 sort à l’usure navale -3 (valeur de mouvement d’Euldj Ali) +1 (mers traversées) en colonne 1 : rien. L’amiral vénitien ayant subi une forte attrition lors de la mise sous blocus de Constantinople, décide de tenter la retraite avant combat sur un dé 10. Cela passe, la Flotte (+) vénitienne se réfugie à Odessa, chez son allié polonais. Un dé 7-2 à l’usure en colonne 1 lui évite des pertes. Euldj Ali décide de continuer son mouvement et de se placer en Sea of Marmara.

10.     Le sultan se place sur l’Armée DOBRUDJA, car cette dernière n’est pas commandée. 9 PM. En fait, une armée/pile doit être obligatoirement commandée par un général et la hiérarchie (lettre en bas à gauche du pion) du personnage doit être respectée. Si aucun général n’est disponible, un remplaçant est choisi au hasard.

11.     Beleir Bey quitte SERBIA pour BOSNIA. 3 PM.

12.     L’amiral ?3 sort et place son corsaire (-) en ZM Indian Sea.

13.     Le corsaire algérien se place en ZM Gulf of Lion.

Le siège de Kharkov continue sur un dé 3-1 (valeur de la forteresse) +1 (« brèche ») = rien. Un 5 sort pour l’usure des assiégeant en colonne 2. Pas de pertes pour les tatars.

A Günns, en CARNIOLA, un dé 10 sort -2 (forteresse) +3 (usure (+)) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) +1 (valeur de siège du grand Vizir) = R, reddition de la forteresse. La province est donc désormais contrôlée par Ali Bey, un drapeau turc est posé dessus. Soliman ajoute 1 points dans sa situation militaire (cellule C67 de la Fiche militaire).

Siège de Günns : victoire turque.

 Le bon roi Sigismond déclare une campagne simple. 20 D£.

La pile située en OREL se déplace au Sud en WORONES puis KARKHOV où elle attaque les tatares. Sigismond qui commandait la pile de Smolensk prend le commandement de cette pile et envoie le général ?1 commander les Armées polono-porte-glaive en échange. 4 PM.

Les tatares acceptent la bataille de Babaï en ce 2 mai 1536. Sigismond choisit la tactique « Attaque de flanc » qui nécessite un lancé de dé pour que l’ordre passe : 2+2 (valeur de mouvement de Sigismond) : échec, donc se sera « Assaut ». Le Khan tatar choisit « Contre-attaque de flanc », pareil, un test est nécessaire : 3+4 (valeur de mouvement du khan) : échec, se sera « Défense ».

L’artillerie polonaise se met en batterie et entame les hostilités par un feu de 3+2 (différentiel de feu des généraux) en colonne C, soit 5% = 1 perte tatare. Au choc, Sigismond se place à la tête de ses hussards ailés et sur un dé 5 en colonne A = 5% des 139 PF polono-ukrainiens, soit 7 pertes tatares dont 25% de cavalerie ottomane. La réplique du Khan est de 2 : rien.

Les deux chefs décident d’un second jour, l’artillerie polonaise remet la sauce, espérant ramollir un peu plus les tatares par un dé 6+2 (différentiel de feu des généraux présents) = 10%* soit une perte tatare supplémentaire et surtout un niveau de moral qui passe à 2. Au choc, Sigismond repart à l’assaut droit devant et c’est un dé 5 à nouveau : 7 pertes tatares (dont 25% de cavalerie) contre un dé 4 pour le khan Îslam Ier Giray soit 5% des 135 PF de son armée : 7 pertes polonaises dont 25% de cavalerie.

Un troisième jour de bataille est décidé et l’artillerie polonaise fait chauffer les tubes dans les plaines d’Ukraine : dé 8+2 (différentiel de la valeur de feu des généraux présents) = 20%** : 1 perte tatare et un moral qui passe à 0. Au choc, Sigismond sort un 4 soit 5% : 7 pertes tatares. Un dé 4 sort pour le khan Îslam Ier Giray : 5% de ses 130 PF = 7 pertes polonaises.

Bilan de la bataille de Babaï en ce 2 mai 1536 : 24 pertes tatares et un moral passé à 0, contre 14 pertes polonaises et un moral resté à 3. Défaite tatare.

Le Khan Îslam Ier Giray décide logiquement de ne pas insister et risquer une déroute. Il retraite plein Sud en CRIMEA sur un dé 6-4 (valeur de mouvement du khan) à l’usure terrestre soit en colonne 7 = rien. La poursuite polonaise ne donne rien sur un dé 5 en colonne E. Les généraux ne sont pas blessés. 1 PM.

Sigismond ajoute donc un point pour sa situation militaire en cellule G72 de sa Fiche militaire dans la Feuille de jeu.

La pile navale en ROMAGNA quitte Ancône pour RAGUSA où deux DT débarquent. 5 PM. L’un d’entre eux continues sur Nish (général de remplacement 2.3.2) en couverture de la cité du KOSSOVO et un dé d’usure est lancé : 4-2 (valeur de mouvement du général) = *. Un dé est relancé : 5-2=3 soit 10% d’usure. Le DT perd 10% et ne peut « couvrir » Nish puisque le ratio de 10/1 n’est pas respecté. Il reste donc à Raguse. Que Sigismond enlève 1 perte sur ce DT.

Enfin, la Flotte (+) génoise continue sa police des mers : un dé 6 sort pour la lutte contre les pirates barbaresques +5 (mouvement de Andrea Doria) +4 (flotte) +1 (au moins une unité navale) -1 -1 (corsaires (-)) = 14. Un corsaire (-) est éliminé.

Ferdinand de Habsbourg décide d’envoyer ses 2 Armées (-) en BOHEMIA, loin du front. 5 PM.

Le pacha Ismael n’a la possibilité d’intercepter ce mouvement étant donné qu’un général de remplacement Habsbourg 3.2.1 a été déterminé par le sort.

Charles Quint décide d’une campagne simple. 20 D£.

En Amérique, la « Flotta de Oro » quitte Carthagène pour se placer en Winward Islands escortés par un DN issu de la Flotte (-) scindée en deux. Un dé 9 désigne un amiral de remplacement espagnol 2.2.3. Un dé 6 à l’usure navale sort -2 (valeur de mouvement du remplaçant) en colonne 6-3 (port ami dans chaque mer) = rien.

Le second DN issu de la scission de la Flotte se porte en GUYANA avec Coronado et le DT. 8 PM. Un dé d’usure est lancé en colonne 7 : 5-5 (Coronado) = rien. Un dé 10 sort pour l’usure navale -5 (navigateur) +1 (mers traversées) en colonne 6-3 = *, donc relance : un dé 6 sort donc pas d’usure navale.

Le conquistador ?2 se porte à Carthagène. 18 PM.

En Europe, la pile espagnole en SALZBURG se place en AUSTRIA. 3 PM. Ali Bey réagit à ce mouvement et tente une interception avec succès sur un dé 9+2. Il y aura donc bataille à Vienne en ce 3 mai 1536. Le duc de Bourbon choisit la tactique « Reconnaissance offensive » et Ali Bey « Contre-attaque offensive » qu’il réussit à faire passer sur un dé 4+4 (valeur de mouvement d’Ali Bey). Il n’y aura pas de bonus tactique. Les armées sont toutes deux en moral vétéran et le terrain est difficile puisqu’en forêt. La technologie est « Tercios » pour l’attaquant espagnol et « Renaissance » pour le défenseur turc.

La phase de feu débute par les tirs espagnols en colonne C : 1-2 (terrain) = rien. Les ottomans répliquent par un 2+1 (différentiel de feu) -2 (terrain) : rien. Au choc, les ibères sortent un 7-2 (forêt) -1 (ottomans au 1er round) en colonne B = rien. Ali Bey sort un dé 2-2 (forêt) = rien.

Un second jour est décidé, l’artillerie espagnole tonne : 6-2 = rien. Les tubes ottomans répliquent 6-2+1 (différentiel de feu) = 5% en colonne C, enfin un résultat ! 1 perte espagnole. Les boulets s’enfoncent dans les bois, se contentant de cisailler quelques branches et brais espagnols. Les tercios se mettent en branle et sortent un dé 9-2 (terrain) = 15%*, 46 PF x 15% = 7 pertes pour Ali Bey et u moral qui passe à 2. Les turcs répliquent par un dé 2-2 (terrain) = rien… la forêt est décidément très handicapante pour se taper dessus.

Un troisième jour est décidé par les généraux ennemis. Un dé 8 sort au feu pour les ibères -2 (forêt) en colonne C = 5% soit une perte ottomane. Un dé 2-2 (forêt)+1 (Différentiel d’Ali Bey) = rien. Au choc, Bourbon sort un dé 5-2 (forêt) = rien. Idem pour Ali…

Un quatrième jour est décidé et c’est un tir espagnol de 1-2 (forêt) = rien. La réplique turque est de 5-2 (forêt) +1 (différentiel) = rien. Au choc, un dé 7-2 (forêt) = 5% des 45 PF = 3 pertes turques qui réplique par un dé 8-2 (forêt) = 10% soit 10 pertes espagnoles.

Bourbon décide la retraite, il se replie sur SALZBURG. 6 PM. Un dé 1 sort à l’usure -2 (valeur de mouvement du duc de Bourbon) -1 (province amie) = rien.

Bilan de la bataille de Vienne le 3 mai 1536 : victoire turque. 11 pertes espagnoles, moral 4. 11 pertes turques et un moral ottoman passé à 2.

Soliman note un point dans sa fiche militaire pour sa situation militaire en cellule G72. Ali Bey décide de se placer en AUSTRIA.

La Flotte de galères espagnole quitte la mer Adratique pour Ionian See sur un dé 4 à l’usure navale -2 (amiral) en colonne 5-3 = rien.

Le général espagnol 1 ? quitte la province d’ILLYRIA pour se porter en KOSSOVO. 3 PM.

J’ai pris la liberté de tester l’interception par Berleir de ce mouvement : 1+1 (différentiel de manœuvre) = échec. En cas de succès il y aurait eu usure. Le pacha Mustapha est en mesure de tenter l’interception aussi, je jette un dé au cas où : 8 mais il y aura usure, donc est-ce que Soliman tente ? Il me répond que non.

Le siège de Nish est donc entamé sur un dé 9-1 (forteresse) -2 (terrain) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) = usure (+). Un dé 7+2 (forêt) en colonne 1 sort pour l’usure des assiégeants : 10% d’usure pour les tercios. Que le joueur espagnol enlève ses pertes de sa Fiche militaire.

Enfin, en Ionia Sea la Flotte (+) espagnole lutte contre les corsaires et sort un dé 7+4 (Flotte) +2 (amiral) -1 (corsaire (-)) -3 (corsaire (+)) = 10. Un corsaire (-) est éliminé.

Une campagne passive est ordonnée par le roi de FRANCE. 10 D£.

Le navigateur ?1 français quitte seul Straits of Florida pour naviguer vers Bermuda Triangle, Southern Atlantic Ocean et Bay of Gambia pour prendre le commandement du DN sur place. Ceci fait, il tente la découverte de Gulf of Guinea sur un dé 5-3= S 10%. La pile subit donc une perte et découvre Gulf of Guinea. Que François Ier enlève cette perte. Un pion bleu y est placé.

Le DN en Straits of Florida reste en mer et est provisoirement commandé par un amiral de remplacement 3.2.2 et un test d’usure navale est effectué : 2-3= rien.

Campagne passive pour les anglais. 10 D£.

Henri VIII ordonne à son navigateur de tenter la découverte d’Arguin Bank et Bay of Gambia sur un dé 7-3 (mouvement de l’explorateur) +1 (deuxième mer) = 5 sur la Table des découvertes de la Fiche militaire (cellule AI178) soit ½ et 40% d’usure navale. Un dé est relancé : 8 = S*. C’est un succès mais un test de « Disparitio » doit être effectué : 3. Le navigateur échappe à la blessure. Un point rouge est placé dans les deux mers. Que l’anglais retire 40% de ses navires, sachant qu’un sur 3 reviendra au round 3 et un sur trois au tour 11, qu’il note cela dans sa fiche militaire.

Le doge Gritti se décide pour une campagne simple. 20 D£.

La Flotte (+) à Odessa se place en ZM Black Sea sur un dé 10-2 (valeur de mouvement de l’amiral ?1) en colonne 1 = * soit relance : 4, donc rien.

La Flotte de Grimani se porte en Sea of Marmara et aborde celle d’Euldj Ali sur un dé 7 à l’usure navale -4 (valeur de mouvement de Grimani) +1 (mers traversées) en colonne 5 = *. On relance : 8-4+1=5 10% d’usure navale. Euldj Ali décide de rester dans le détroit des Dardanelles. Les flottes en présence sont sensiblement les mêmes. Au feu, chaque galère vaut 0.5 PF et à l’abordage 1 PF, les Navires de Transport ne tirent pas et à l’abordage comptent pour 1 PF. Le moral est de 2.

Au feu, Grimani entame les manœuvres d’approche et donne sa première bordée sur un dé 10+3 (différentiel de feu des amiraux présents) en colonne E = 30%** soit 17 pertes ottomanes et un moral qui passe à 0. Euldj Ali réplique par un dé 10 aussi ! 15%* soit 9 pertes vénitiennes et un moral qui passe à 1. Viens l’abordage, cette fois l’amiral Grimani veux achever son adversaire sur un 2… en colonne A : rien. Euldj Ali sort un dé 7 : 15%* soit 15 pertes vénitiennes et un moral qui passe à 0.

Les deux amiraux décident de rester pour un second jour de bataille et l’amiral Grimani sort un dé 8+3 (différentiel de feu en sa faveur) en colonne E = 20%* soit 9 pertes ottomanes et un moral à -1. Euldj Ali sort un dé 8 également soit 10% : 6 pertes vénitiennes. Les galères s’abordent et passent à l’abordage sur un dé 6 pour l’amiral vénitien en colonne A = 10% soit 9 pertes supplémentaires turques. Euldj Ali réplique par un dé 6 : 10% des 90 PF soit 9 pertes vénitiennes.

Le moral d’Eudj Ali étant négatif, la flotte ottomane est défaite et contrainte à la retraite dans le port ami le plus proche : Constantinople. La poursuite de Grimani tombe à l’eau par un dé 1+1 (différentiel de manœuvre des amiraux) en colonne E. Grimani choisit de bloquer Euldj Ali au port réfugié à Constantinople.

La blessure des généraux est testée, et Grimani est blessé pour 3 rounds.

Bilan de la bataille navale des Dardanelles le 7 mai 1536 : victoire vénitienne 39 pertes vénitiennes contre 35 pertes turques.

Que le joueur vénitien note un point dans sa Fiche militaire pour sa situation militaire en cellule G72.

La Flotte en Black Sea s’occupe de la police en mer sur un dé 3 +4 (Flotte (+)) +2 (amiral) -1 (corsaire) +1 (au moins une unité navale présente) = 9 soit rien.

Rien, Helena s’occupe du petit tsarevitch et par conséquent ne peut ordonner quoique ce soit.

 

 

Correction : les effectifs des armées Habsbourg d’Autriche sont un peu différents de ce qui est noté dans l’annexe des mineurs et de plus ils ont droits à trois généraux de base pour la seconde période. J’ajoute donc un personnage de général sur la carte. Je modifie la Feuille de jeu espagnole en conséquence, en y ajoutant les limites militaires autrichiennes pour plus de clarté dans sa Fiche pays.

Une campagne passive est décidée par le roi du Portugal Jean III. 10 D£. Que Jean III note cette campagne dans l’onglet du Tour 10 en L146 (le type de campagne) et O148 (les ducats).

Contraint à la retraite par la coupure de son ravitaillement, la pile en ORANIA se porte en TANGER. Un dé 3-2 (valeur de mouvement du général ?1) sort en colonne 7 pour l’usure : rien.

Outre-mer, Albuquerque se place sur la pile en ORISSA. 14 PM. Pas d’usure, il se déplace seul. Le navigateur ?2 se porte en Eastern Indian Ocean pour lutter contre les corsaires ottomans sur un dé 8-5 (valeur de mouvement du navigateur) +1 (mers traversées de même niveau) en colonne 5 = *. On relance : 8, on relance : 10 = 20% d’usure navale. Que le joueur portugais enlève ses pertes, sachant qu’un navire sur trois sera récupéré au round 3, un au tour 11.

Un dé 4 sort pour la lutte contre les corsaires sur la Table de lutte contre les pirates et corsaires en AM133 de la Fiche militaire +4 (Flotte (+)) +1 (différentiel de manœuvre des amiraux/navigateur) -1 (corsaire) = échec.

Les indigènes en ORISSA voient leur tolérance testée : un 4 sort. La valeur de tolérance sur la carte Hors-Europe est de 6. Le dé étant inférieur à celle-ci, les indiens attaquent la pile d’Albuquerque (conformément à la règle « Divers et Hors-Europe » en cellule A275 de la Fiche militaire). Ce dernier utilise la Table des conquistadors (Y178 de la Fiche militaire) et un dé 8 sort : 10% sont détruits et 90% résistent, soit 6 pertes indoues. Les portugais sont vétérans en moral 3 « Renaissance » contre « Médiéval » conscrit soit 1 de moral pour le maharadja Djibulputrilbrunagua dont l’armée compte désormais 54 000 hommes contre 11 000 lusitaniens. Le général indou est 5.0.3. La tactique « Contre-attaque de flanc » est choisie par Albuquerque et « Assaut » pour le maharadja d’Orissa.

Pas de feu puisque les « tos » ne dispose pas d’artillerie dans leurs Détachements terrestres ». Au choc, Albuquerque sort un dé 1+2 (différentiel de la valeur des généraux) +2 (cavalerie) en colonne A = 5% des 8 PF disponibles ce premier jour, soit 1 perte indoue. Le maharadja d’Orissa réplique par un dé 10 ! en colonne B soit 25%** des 64 PF disponibles : 16 pertes… La pile portugaise est détruite.

La blessure des généraux est testée et un 8-5 sort pour Albuquerque qui s’en sort et s’échappe, se réfugiant en CARNATIC. 20 PM. Un 8 pour le maharadja Djibulputrilbrunagua le fait sortir grand vainqueur de cette bataille qui chasse les européens de son royaume.

Que Jean III supprime ses deux DT de sa Fiche militaire.

 

Un dé 6 sort, la phase militaire continue et nous entamons le round 3.

 

 

Troisième round (environ 1537) :

Remarque : en Asie, 30% des effectifs indigènes sont de la cavalerie et 1% de l’artillerie (à partir de la technologie terrestre « Renaissance »). Cela ne change pas le résultat désastreux quoiqu’il en soit pour le portugais…

Campagne multiple pour Soliman le Magnifique. 100 D£.

1.        Beleir Bey quitte la province de BOSNIA pour se porter en SERBIA où il intègre le DT qui y est présent, puis redescend sur le KOSOVO. 4 PM. Beleir Bey attaque donc la pile des tercios espagnols en siège sur Nish en ce 16 mai 1537. Les défenseurs choisissent la tactique « Défense étendue » et sont en moral conscrit (3), les attaquants turcs choisissent la tactique « Assaut » et sont de moral conscrit (2). Pas de bonus tactique.

Au feu, les turcs entament les tirs sur un dé 4-2 (forêt) en colonne C = rien. La réplique ibérique se fait sur un dé 1-2 (forêt) = rien. Les boulets fusent à la cime des arbres ne causant aucuns dégâts chez les protagonistes. Vient le choc : dé 3-2 (forêt) +1 (différentiel positif de la valeur des généraux) = rien. Les espagnols sortent un dé 7-1 (ottomans au 1er jour) -2 (forêt) en colonne A = 5% soit 1 perte turque.

Le second jour, Beleir Bey décide de rester tout comme le général ?1. Un dé 7 turc sort au feu -2 (forêt) en colonne C = 5% des 3 PF disponibles = 1 perte espagnole. Ces derniers sortent un dé 6-2 (forêt) =rien. Au choc, le général ottoman sort un dé 3-2 (forêt) +1 (différentiel) = rien. Les espagnols sortent un dé 1…

Troisième jour : l’artillerie turque sort enfin un dé plus intéressant sur un jet 8-2 (forêt) = 5% : 1 perte espagnole qui réplique par un feu de 10-2 (forêt) = 10%* soit une perte turque et un moral qui passe à 1. Les lignes s’élancent à nouveau l’unes contre l’autre et un dé 7-2 (forêt) +1 (différentiel) = 10% des 66 PF ottomans : 7 pertes espagnoles qui sortent un dé 4 en retour -2 (forêt) = rien.

Le général espagnol choisit la retraite, les pertes commençant à devenir trop importantes. Une poursuite est effectuée par les ottomans sur un dé 6+1 (différentiel de manœuvre des généraux) en colonne E = 5% soit 4 pertes supplémentaires. L’usure est testée sur un dé 5-2 (valeur de mouvement du général ?1) en colonne 7, soit 10% : 1 perte espagnole. Le reste de l’armée espagnole se place en ILLYRIA. Le général espagnol est blessé pour 3 rounds et le siège de Nish est donc levé faute d’assiégeants.

Bilan de la bataille de Nish du 16 mai 1537 : défaite espagnole dont l’armée subit 12 pertes (dont une artillerie obligatoirement), contre 3 pertes turques.

Que Soliman le Magnifique ajoute un point dans le tableau de la situation militaire en cellule G72 de la Fiche militaire.

2.        L’Armée algérienne se déplace sur le MAROC, y intègre une partie du DT algérien, le reste, part sur ORANIA. 3 PM.

3.        La pile du pacha Djamil quitte KABILYA pour rejoindre l’armée algérienne au MAROC. 4 PM.

4.        La Flotte d’Euldj Ali sort du port de Constantinople bloqué par les vénitiens de l’amiral de remplacement 2.2.1. La bataille navale de Galata débute donc en ce 16 mai 1537. Moral 2 des deux côtés. Une tentative d’interception de la part de l’amiral ?1 vénitien en Black Sea échoue sur un dé 1.

Au feu, Euldj Ali sort un dé 2 en colonne E, soit rien, contre un dé 8+1 (différentiel positif de feu des amiraux) = 10%* des 43 PF vénitiens : 6 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1. Les galères s’abordent et Euldj Ali sort un dé 9+3 (différentiel d’abordage des amiraux) en colonne A = 40%** des 85 PF turcs : 36 pertes vénitiennes et un moral qui passe à 0. Un dé 1 sort pour Venise…

L’amiral vénitien décide de céder à la pression turque, il retraite sur Odessa sur un dé 6-2 en colonne 1 soit pas d’usure navale. Euldj Ali ne le poursuit pas.

Bilan de la bataille de navale de Galata du 16 mai 1537 : victoire turque avec 6 pertes et un moral à 1 contre 36 pertes vénitiennes et un moral à 0.

Le turc gagne un point de situation militaire et décide d’attaquer la flotte vénitienne de l’amiral ?1 après un dé 4-3 en colonne 4-3 à l’usure navale : rien.

La bataille des esturgeons s’engage donc dès le lendemain 17 mai 1537 par Euldj Ali sur un dé 4 au feu en colonne E, soit rien. Le vénitien réplique par un dé 10+1 (différentiel positif de la valeur de feu des amiraux présents) = 20%* des 44 PF italiens, soit 9 pertes turques et un moral qui passe à 1. Les galères manoeuvrent et s’abordent sur un dé 4 d’Euldj Ali +1 (différentiel positif de la valeur d’abordage) en colonne A = 5% de ses 79 PF soit 9 pertes vénitiennes. L’amiral italien réplique par un dé 3 : rien.

Un second jour de bataille est décidé par les deux amiraux, les ottomans font feu sur un dé 1… rien, la réplique des marins italiens est un dé 7+1 en colonne E = 10% des 40 PF disponibles soit 6 galères ottomanes de perdues. Les navires s’abordent sur un dé 7 turc +1 (différentiel de la valeur d’abordage d’Euldj Ali) en colonne A = 20%* soit 15 pertes vénitiennes et un moral qui passe à 1. Les italiens répliquent par un 4 = 5% soit 6 pertes turques.

Un troisième jour de bataille est décidé, un dé 6 sort pour Euldj Ali : 5% des 32 PF au feu = 3 pertes vénitiennes qui répliquent par un dé 3+1 (différentiel de feu) = rien. A l’abooorrrrddddaaaaggggeeeeuuuuhhhh Euldj Ali sort un dé 7+1 en colonne A = 20%* des 66 PF turques soit 15 pertes vénitiennes et un moral qui passe à 0 contre un dé 7 de l’amiral italien soit 15%* des 66 PF qu’il lui reste soit 12 pertes ottomanes et un moral qui passe aussi à 0.

Quatrième jour ! Personne ne veut s’avouer vaincu et veut son caviar en guise de conclusion de cette confrontation. Les galères ottomanes font feu sur un dé 2 : rien. Venise réplique par un sérénissime 7+1 en colonne E = 10% des 23 PF de feu = 3 pertes turques. A l’abordage les galères turques sortent un dé 1+1=2 soit rien pour Euldj Ali qui se voit prendre un dé 2 sur la face : rien.

Cinquième jour… un nouveau dé 2 au feu qui tombe à l’eau pour Euldj Ali contre un dé 6+1 pour l’amiral ?1 soit 5% = 3 pertes turques. A l’abordage les turques sortent un dé 2+1= rien contre un dé 6 soit 10% des 49 PF italiens = 6 pertes turques.

Sixième jour : un dé 10 sort pour le feu turc soit 15%* des 20 PF = 3 pertes vénitiennes et un moral qui passe à -1. Côté vénitien, un 5+1 (différentiel de feu) sort, soit 5% des 23 PF = 3 pertes turques. Le cinquième abordage donne un dé 2 pour l’amiral turc +1 (différentiel positif de la valeur d’abordage) = rien. Un dé 3 sort pour l’italien. Le moral des vénitiens étant négatif, il est contraint à la retraite mais avant, une poursuite est effectuée par Euldj Ali sur un dé 10+1 (différentiel de manœuvre des amiraux) en colonne E = 15% des 39 PF soit 6 pertes vénitiennes supplémentaires. La retraite s’effectue sur un dé 6-2 (valeur de manœuvre de l’amiral ?1 Italien) en colonne 1 : rien. La pile italienne se réfugie à Odessa et Euldj Ali décide de l’y bloquer.

Bilan de la bataille de navale des esturgeons du 17 mai 1537 : victoire turque avec 39 pertes et un moral à 0 contre 48 vénitiennes et un moral de -1. Ce n’est pas une bataille majeure puisqu’un navire est égal à trois galères.

Le joueur turc ajoute un point dans sa Fiche militaire concernant sa situation militaire en G72.

5.        Enfin, le sultan se porte en BUG et s’empile avec l’Armée (+) et les deux pachas qui s’y trouvent, elle envoie un DT en WALLACHIE. 4 PM.

6.        En PECS, deux DT sont prélevés de la pile pour partir sur Vienne en AUSTRIA, accompagnés par le général ?2. La pile vénitienne tente une interception de ce mouvement qui passe dans une province adjacente : un dé 7+1 (différentiel de manœuvre des généraux) : échec. La pile impériale tente également l’interception : 10 ! Réussit. Une bataille va donc avoir lieu. Les deux piles sont en « Renaissance » vétérans (moral 3), la tactique turque est « Assaut » et celle des impériaux « Contre-attaque » : +1 pour le défenseur en bonus tactique.

La bataille de Günns débute en ce 17 mai 1537 par un feu d’artillerie puissant de la part des canonniers impériaux : 9+1 (différentiel de feu des généraux) +1 (tactique) en colonne C = 20%** des 4 PF de feu, soit 1 perte turque et un moral qui passe à 1. Les hommes s’avancent et partent à l’assaut sur un dé 7+1 (différentiel de choc) en colonne A = 20%* des 26 PF = 6 pertes impériales et un moral qui passe à 2. Au choc, les impériaux sortent un dé 10-1 (turc au premier round) = 25%** des 46 PF soit 12 pertes ottomanes et un moral qui passe à -1. La pile turque déroute et subit une poursuite de 3 en colonne E : rien et une retraite de 5-2 en colonne 7 = 10% d’usure soit une perte turque. Les ottomans reviennent en PECS. 3 PM. La pile impériale reste en CARNIOLA. 2 PM.

Bilan de la bataille de Günns : victoire espagnole, 14 pertes turques et 6 impériales.

Charles Quint ajoute un point dans sa Fiche militaire en G72 pour sa situation militaire. Les joueurs enlèvent 25% de pertes en cavalerie obligatoirement.

7.        Le pacha Israf se porte en CARNIOLA avec l’Armée (-) et le pacha Ysuf. Pour contre-attaquer l’armée impériale qui vient d’y entrer après l’interception. Le général Habsbourg ?4 tente la retraite avant combat sur un dé 7 : échec. Il y aura donc bataille dans la plaine autrichienne. Les impériaux choisissent la tactique « Repli » et ils sont vétérans contre « Assaut par vague » d’une armée ottomane conscrite (moral 2) : +1 au dé de l’attaquant.

L’artillerie ottomane entre en action sur un dé 5 en colonne C soit 5% et une perte impériale contre un dé 10 des artilleurs impériaux décidément en vaine : 20%** soit 1 perte ottomane et un moral qui passe à 0. Au choc, Israf fait un 3+3 (différentiel de choc des généraux) +2 (cavalerie) +1 (tactique) = 25%** des 91 PF turcs : 23 pertes impériales et un moral qui passe à 2. Le général ?4 Habsbourg réplique par un 2-1 (turc au premier round) : rien… Les impériaux retraitent sur un dé 1-2 en colonne 7 soit rien. Pas de poursuite à cause de la tactique de « Repli » choisie par les impériaux.

Bilan de la seconde bataille de Günns : victoire ottomane avec 1 perte turque et 23 pertes impériales dont 25% de cavalerie et une artillerie pour les impériaux.

Soliman le Magnifique ajoute un point dans sa Fiche militaire en G72 pour sa situation militaire.

Un dé 5 sort pour le siège de Vienne -3 (forteresse) -2 (forêt) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) +1 (valeur de siège du Grand Vizir) = 4 : usure (-). Un 7 sort à l’usure des assiégeants -1 (valeur de siège du Grand Vizir) +2 (forêt) = 8 en colonne 1 = *. On relance : 3. Rien, pas d’usure.

 

Campagne passive de 10 D£ pour Sigismond.

Le roi se porte en UKRAYNIA puis PRIPET. 5 PM.

Andrea Doria continue sa lutte avec la Flotte (+) génoise en Gulf of Lion. Un dé 5 sort à l’usure navale -5 (mouvement de Doria) en colonne 2 = rien. La pile navale s’attaque aux corsaires tunisiens sur un dé 8 +4 (Flotte) +5 (Doria) -3 (corsaire) = 16. Le corsaire barbaresque explose.

Campagne simple pour Charles Quint. 20 D£.

En Europe, les forces espagnoles ne bougent pas hormis la Flotte (+) qui se porte dans le port de Zara en ILLYRIA.

En Amérique, Pizarro attaque les aztèques et utilise la Table des conquistadors pour la quatrième fois sur un dé 2+4=D10/R90. Il embarque avec lui des renégats aztèques (22 000). 10% des 49 000 guerriers sont détruits soit 5 000 en moins. Les aztèques sont en conscrits « Médiéval » soit un moral de 1. Pizarro est en « Tercios » avec un moral de 4 car vétérans. Un dé 6 à l’usure -5 ne donne rien.

L’artillerie espagnole entre dans la danse sur un 3+4 (différentiel de feu) -2 (montagne) en colonne C = 1 perte aztèque. Au choc, les espagnols sortent un dé 8-2 (montagne) en colonne A = 10% des 43 PF soit 5 pertes indigènes. L’empereur Cacaodavocatepec sort un 2-2 en colonne B : rien.

Un second jour est décrété et au feu, l’artillerie espagnole sort un dé 9+4-2=11 soit 20%** des 2 PF soit une perte aztèque et un moral qui passe à -1. Au choc, Pizarro sort un dé 5-2 = rien, l’empereur amérindien sort un 8-2 en colonne B = 10% de ses 38 PF soit 4 pertes espagnoles, prélevées sur les renégats. Le moral indigène étant passé négatif, il est contraint à la retraite qu’il effectue dans la cité de Tenochtitlan, donc, pas d’usure. Pizarro va poser le siège de la capitale aztèque. 6 PM.

En Carrebean Sea le navigateur quitte la mer pour Sea of Cuba, Straits of Florida et tente la découverte de Western Atlantic Ocean sur un dé 1+2 (mers traversées) -5 (valeur de mouvement du navigateur) = S. Succès, un pion jaune est placé sur la carte.

La Flotta de Oro continue son périple vers la métropole aux ordres d’un amiral de remplacement 2.3.2 par Southern Atlantic Ocean, Airguin Bank, Sea of Canarias et Bay of Bicaye soit un dé 3+3 (mers traversées) -2 (amiral) en colonne 6-3 = rien. La flotte arrive à Cadix et dépose l’or des Amériques au port.

Le siège de Tenochtitlan est commencé en grande pompe par un dé 10 de Pizarro -1 (forteresse) -2 (montagne) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) +1 (valeur de siège de Pizarro) = « B » Brèche. Les espagnols s’engouffrent derechef dedans ! Au feu, un dé 2 sort en colonne B +4 (différentiel de feu) -2 (montagne) = 5% des 3 PF soit une perte aztèque. Il reste 41+5 PF à la garnison capitale. Pizarro envoie ses hommes à l’assaut des murs et sort 3-2 (montagne) en colonne A = rien… Les aztèques répondent par un 10-2 (montagne) en colonne B = 15%* soit 7 pertes espagnoles et un moral qui passe à 3.

Pizarro décide de renouveler l’assaut. Un dé 8 au feu sort -2 (montagne) +4 (différentiel de feu) en colonne B = 25%** soit 1 perte et deux niveaux de moral. La garnison aztèque craque au moral et cède devant la pression hispanique. Tenochtitlan est prise. L’empereur aztèque est exécuté de suite ainsi que l’ensemble de la garnison, en effet, les renégats étaient passablement revanchards. D’ailleurs Pizarro en profite pour les licencier tous, trouvant qu’ils ont poussés le bouchon un peu loin en pendant une bonne partie de leurs ennemis par les cheveux ou par un endroit que nous ne nomerons ici par pudeur.

Bref, l’empire aztèque n’est plus. Pizarro est nommé Vice-roi immédiatement et une colonie de niveau 3 apparaît à Tenochtitlan rebaptisée Mexico. Pizarro devra rester sur place, et ne pas sortir de la région AZTECA.

Une campagne passive est ordonnée par le roi de FRANCE. 10 D£.

Le DN en Straits of Florida rentre au port de CAROLINA sur un dé 3-3 (valeur de mouvement de l’amiral de remplacement 3.2.2) en colonne 6-3= pas d’usure.

La Flotte (-) quitte Brest commandée par un amiral de remplacement 3.2.2 et sort en Bay of Biscaye, Airguin Bank, Bay of Gambia et Gulf of Guinea sur un dé 7-3 (valeur de l’amiral) +3 (mers traversées) en colonne 6 = 40% de pertes. Un navire sur trois sera récupéré au round 4 et un sur trois au Tour 11. Que François Ier note cela dans sa Fiche militaire.

Jacques Cartier revient de blessure et tente la découverte de la région côtière CÖTE D’IVOIRE sur un dé 6-2 (valeur de mouvement de Jacques Cartier divisée par deux) = S* 30%, soit 30% d’usure navale. Un navire sur trois sera récupéré au round 4 et un sur trois au Tour 11. Que François Ier note cela dans sa Fiche militaire. Un point bleu est placé sur la région.

Correction : le siège de Fez a été omis au round turc, je lance donc un dé 7-1 (forteresse) +1 (artillerie) = « usure (+) ». Un dé 10 sort pour l’usure en colonne 1. 20% d’usure terrestre pour les forces assiégeantes algéro-turques. Que Soliman retranche ses pertes de sa Fiche militaire.

Campagne passive pour Henri VIII. 10 D£.

Le navigateur anglais ?3 décide de tenter la découverte de Gulf of Gunia et Coast of Angola. Un dé 10 sort +1 (par province/mer traversée après la deuxième) -3 (valeur de mouvement du personnage = 8 soit « E » et 70% d’usure navale. C’est donc un échec et l’anglais retire 70% de ses effectifs. Il récupérera un navire sur 3 au round 4 et un navire sur trois au Tour 11. Qu’il note cela dans sa Fiche militaire.

Les forces du doges Gritti ne bougent pas.

 

Une campagne passive est décidée par la régente. 10 D£.

La pile du général ?2 en PSKOW se place en NOVGOROD. 3 PM (pour le russe, x2 pour les autres hormis les tatares et les cosaques).

Jean III opte pour une campagne passive. 10 D£ à noter dans la fiche du tour 10.

Aucun mouvement pour les forces portugaises, le Flotte (+) en ZM Eastern Indian Ocean continue sa lutte contre les corsaires. Un dé 7 sort à l’usure navale -5 (valeur de mouvement du navigateur portugais) en colonne 5 = rien.

Le dé de lutte contre les corsaires est un dé 10+1 (différentiel de mouvement) +4 (Flotte (+)) -1 (corsaire) = perte du corsaire turque. L’amiral corsaire est capturé, un autre amiral turc le remplacera au round prochain, il est placé dans la case du quatrième round en attendant.

Le dé est lanc é pour voir si la phase militaire s’arrête ou continue et c’est un dé 4 qui sort, un quatrième round débute donc.

 

Quatrième round (environ 1538) :

Campagne simple pour la TURQUIE. 20 D£.

1.        La pile du khan de Crimée quitte CRIMEA pour KARKHOV. 2 PM.

2.        Le pacha Karim quitte Preveza en ALBANIA pour MACEDONIA où il embarque le DT déjà présent dans la province pour continuer sur le KOSSOVO et s’empiler avec Berleir Bey. 4 PM.

3.        Le pacha Israf retourne en PECS et s’empile avec le général ?2. 1 PM.

Le vénitien a la possibilité d’intercepter ce mouvement mais un dé 5 sort +1 (différentiel de manœuvre), ce qui est insuffisant.

4.        Berleir Bey quitte le KOSSOVO avec son Armée (+) pour ILLYRIA. 3 PM. Il attaque l’Armée (-) espagnole commandée par un général de remplacement 3.2.2. Ce dernier tente la retraite avant combat sur un dé 7 : échec. Il y aura donc une bataille en ce 24 mai 1538 à Split. Mais avant je veux savoir si le joueur polonais tente l’interception de ce mouvement avec ses deux DT à RAGUSA, sachant qu’un général de remplacement mineur a été désigné : 2.1.1. Sigismond décide de tenter l’aventure sur un dé 4, échec. Les espagnols sont en conscrit « Tercios » (moral de 3) et choisissent « Repli », les turques sont en vétéran (moral 3) et la tactique choisie par Berleir By est « Reconnaissance offensive ». Donc, pas de bonus tactique.

L’artillerie turque commence son bombardement en fanfare : un dé 9-2 (montagne) en colonne C = 5%* des 3 PF au feu soit une perte espagnole et un moral qui passe à 2. Les ibères répliquent par un dé 8-2 (montagne) = 5% soit une perte ottomane. Au choc, un dé 3 sort pour les turques -2 (montagne) +2 (différentiel de choc) en colonne A, soit rien. Les espagnols sortent un dé 1 au choc -2 (montagne) = rien. La poursuite est lancée sur un dé 3, rien.

Le général espagnol choisit étonnamment l’option de ne pas rester sur place et de se réfugier dans Zara.

Bilan de la bataille de Split du 24 mai 1538 : 1 perte de chaque côté, victoire ottomane.

Que Soliman note un point pour son différentiel de situation militaire.

5.        Le DT en WALLACHIA rejoint PECS pour 4 PM et s’intègre à l’Armée (-).

6.        Le DT en PECS est intégré à l’Armée (-).

7.        Le DT en ORANIA avance sur MAROC et est absorbé par l’Armée (+) algérienne. 2 PM.

Le siège de Vienne continue sur un dé 2-3 (forteresse) -2 (forêt) +1 (usure) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) +1 (valeur de siège du vizir) = 2. Rien. Un dé 9 sort pour l’usure des assiégeants -1 (vizir) +2 (forêt) = 30%... Ali Bey enlève 30% de pertes sur sa pile.

A Zara, un dé 6 sort -3 (forteresse) -2 (montagne) -2 (port sans blocus) +1 (artillerie) +2 (armée réfugiée) = 2 soit rien. Un dé 7 sort pour l’usure des assiégeants +2 (montagne) en colonne 1 = 10%. Berleir Bey enlève 10% de ses effectifs.

Le siège de Fez se poursuit sur un dé 5-1 (forteresse) +3 (usure (+)) +1 (artillerie) = usure (+). Ce qui donne donc deux usures (+) sur le siège de la capitale marocaine. Un dé 9 sort en colonne 2 : 20% des effectifs de l’armée algérienne fondent. Que Soliman enlève ces pertes de sa Fiche militaire.

Le siège de Kharkov est ouvert sur un dé 4-1 (forteresse) = rien. Un dé 9 sort pour l’usure des assiégeants… 10% d’usure sur la pile tatare. Que le turc enlève ses pertes.

 Sigismond décide une campagne simple. 20 D£.

Le roi Sigismond Jagellon quitte la province de PRIPET pour GALICJA puis RUTHENIA. 4 PM. Le pacha Turgut tente l’interception en GALICJA sur un dé 1+2 (différentiel de manœuvre des généraux) : échec. Le pacha Khaled accepte le combat, il est en « conscrit » (moral 2) et choisit la tactique « Contre-attaque » contre une pile polonaise vétéran (moral de 3) et Sigismond qui choisit « Attaque de flanc ». Un dé pour cette tactique doit être lancé pour voir si l’ordre passe (sur un 8) : un 1+2 (valeur de mouvement) sort. Echec, se sera un « assaut » : +1 au défenseur en bonus tactique.

Les canons polonais tonnent sur un dé 6-2 (montagne) +1 (différentiel positif de la valeur de feu des généraux) en colonne C = 5% soit 1 perte ottomane. Au choc, Sigismond sort un dé 7-2 (montagne) +1 (différentiel de la valeur de choc des généraux) -1 (premier jour face aux ottomans avant 1560) = 5% des 83 PF = 5 pertes ottomanes. Khaled sort un dé 9-2 (montagne) +1 (bonus tactique) = 20%* des 29 PF turcs soit 6 pertes polonaises et un moral qui passe à 2.

Un deuxième jour est décidé par Khaled et le roi de Pologne. Les tubes polonais remettent la fonte en route sur un dé 4+1 (différentiel de feu) -2 (montagne) = rien. Au choc, un nouveau dé 4-2 (montagne) +1 (différentiel de la valeur de choc) = rien. Khaled sort un dé 6-2 (montagne) +1 (tactique) = 5% soit 2 pertes polonaises.

Un troisième jour est décidé et les canons polonais font un 3-2 (montagne) +1 (différentiel) = rien. Au choc, les polonais sortent un dé 9-2 (montagne) +1 (différentiel) en colonne A = 20%* des 75 PF soit 15 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1. Khaled réplique au roi Sigismond par un dé 1-2 (montagne) +1 (bonus tactique) = rien.

Les turcs sont décidés à tenir, pour infliger le maximum de pertes au roi de Pologne, ils décident de rester. Ce dernier sort un dé 1 au feu +1 (différentiel de feu) -2 (montagne) = rien. Au choc un dé 4 sort -2 (montagne) +1 (différentiel de choc) = rien. Les bachi-bouzouks répliquent par un dé 5-2 (montagne) +1 (bonus tactique) = 5% des 2 PF restants : 1 perte polonaise.

Un cinquième jour est donc décidé et un 7 sort au feu polonais -2 (montagne) +1 (différentiel) en colonne C = 5% soit 1 perte turque. Au choc, les polonais se relancent dans les montagnes sub-carpathiques de Ruthénie sur un dé 5-2 (montagne) +1 (différentiel) = 5% des 74 PF soit 4 pertes ottomanes. Ces derniers répliquent par un dé 10+1 (bonus tactique) -2 (montagne) = 25%** du dernier PF = 1 perte et un moral qui passe à 0 pour Sigismond mais la pile turque est annihilée.

Bilan de la bataille des ruthènes du 25 mai 1538 : victoire polonaise avec 10 pertes contre 30 pertes turques.

Que les protagonistes enlèvent leurs pertes sur leur Fiche militaire. Sigismond gagne 1 point de situation militaire (cellule G72 de la Fiche militaire).

Andrea Doria se porte sur Barberousse en Méditerranée, bien décider à châtier le corsaire barbaresque. Ce dernier tente une retraite avant combat qui échoue, les galères vont donc se combattre donc en ce 25 mai 1538 à la bataille de Delphinium. 21 galères pour Barberousse contre 90 galères et 5 NT italiens.

Au feu, Doria engage les hostilités sur un dé 6 en colonne E soit 5% des 45 PF = 3 pertes algériennes. Barberousse ouvre le feu de son côté avec un dé 3, rien. Les galères accélèrent et passent à l’abordage sur un dé 3 pour Doria = rien, contre un dé 1+1=rien.

Un second jour de bataille est décidé par les deux amiraux ennemis. Andrea Doria utilise efficacement son artillerie en sortant un dé 8 en colonne E = 10% soit 9 pertes algériennes. Barberousse réplique par un 5 = rien. A l’abordage l’amiral génois sort un dé 10 en colonne A pour ses 95 PF : 30%** = 29 pertes algériennes et un moral qui passe à 0. Barberousse sort un dé 3+1 en colonne A = 5% de ses 18 PF = 3 pertes génoises. La pile algérienne disparaît dans l’affaire. Il n’y a pas de poursuite puisqu’il n’y a plus rien à poursuivre.

Barberousse est blessé pour un round, il est placé dans la piste de round.

Bilan de la bataille navale de Delphinium le 25 mai 1538 : victoire génoise/polonaise avec 21 galères algériennes perdues contre 3.

Sigismond ajoute un point à sa situation militaire.

Charles Quint décide d’une campagne simple. 20 D£.

La Flotte de galères quitte Split avec l’Armée (-) à son bord, elle rejoint Naples où l’armée y est déposée. Un dé 2 sort pour l’usure navale -2 (valeur de mouvement de l’amiral) +1 (mers traversées) = rien.

A Cadix, un amiral 1.1.1 de remplacement est désigné pour partir en mer avec le DN sur place. Ce dernier se place en Sea of Canaries sur un dé 3-1 (valeur de mouvement de l’amiral de remplacement) en colonne 5-3 = rien.

Outre-mer, De Soto se déplace sur le COSTA RICA avec l’Armée (-). 10 PM. Un dé 1 sort à l’usure -6 (mouvement de De Soto) = rien.

Le conquistador ?2 quitte Carthagène et se place sur la mine d’or récemment découverte par De Soto en SONORA, après avoir traversé AZTECA. 18 PM.

Le navigateur ?2 en Winward Islands sort un dé 9 à l’usure navale -5 (valeur de mouvement du navigateur) en colonne 6-3 (port ami dans chaque mer) = rien. Il tente la découverte de Airguin Bank sur un dé 2-5 (valeur de mouvement) = S. Succès. Un point jaune est posé sur ladite mer.

Coronado en GUYANA décide d’attaquer les amérindiens. Un dé est lancé sur la Table des conquistadors : 2 = E33/D33/R33. 33% des locaux sont éliminés, 33% désertent et passe côté espagnols et 33% résistent, soit 4. Un général indigène est désigné (1.1.4). Les espagnols ont un moral de 4, 1 pour les amérindiens. Les espagnols choisissent « Attaque de flanc » mais l’ordre ne passe pas. Les autochtones choisissent « Défense étendue ». Il n’y a pas de bonus tactique.

Coronado sort un dé 9-2 (forêt) en colonne A au choc = 15%* de ses 13 PF soit 2 pertes amérindiennes et un moral à 0. Ces derniers sont en colonne B et sortent un dé 6-2 (forêt) +3 (différentiel de choc) = 10%* soit 1 perte espagnole et un moral à 3.

Les amérindiens décident de retraiter dans la partie Sud de la région.

Le général ?2 quitte Prague pour rejoindre la pile impériale en STYRIA. 10 PM.

Oubli : l’Armée (+) à Mexico rejoint Coronado avec un général de remplacement (2.3.2) sur un dé 7-2 (valeur de mouvement) en colonne 7 = 30% d’usure. 8 PM. 

Campagne passive pour le roi de France. 10 D£.

Jacques Cartier tente la découverte de la région côtière CAMEROUN sur un dé 7-2 (moitié de la valeur de mouvement car c’est un navigateur et il tente de découvrir une terre côtière) = 5 = ½ 40% d’usure navale. Un second dé sort : 7 = S*. C’est donc un succès mais avec un test de « Disparitio ». Un dé 4 sort pour ce test, donc il s’en sort. Un point bleu est apposé dans la région. Que François Ier enlève 40% de pertes sur le DN de Cartier.

Le navigateur ?1 tente la découverte de Coast of Angola sur un dé 9-3 (valeur de mouvement) = ½ 50% d’usure. Un second dé est lancé et c’est un 4 qui sort : E. Echec. Que François Ier enlève 50% de pertes sur le DN du navigateur ?1. Je rappelle qu’un navire sur trois sera récupéré au round 5 et un sur trois au Tour 11.

Campagne passive pour Henri VIII. 10 D£.

Le navigateur anglais ?3 décide de retenter la découverte de Gulf of Gunia et Coast of Angola. Un dé 9 sort -3 (valeur de mouvement du navigateur) +1 (mers traversées) = E. Echec, décidément, les mers résistent aux marins anglais qui perdent 60% en usure navale. 1/3 sera récupéré au rond 5, 1/3 au Tour 11. Que l’anglais retranche ces pertes de sa pile.

Que le français et l’anglais me dise s’ils n’ont plus qu’un détachement Naval ou si c’est encore une Flotte (-) sur la carte.

Campagne simple pour le doge Gritti. 20 D£ à additionner à la somme se trouvant dans la cellule O148 de l’onglet « Tour 10 » en mentionnant le type de campagne en L146.

 En CARINTHIA, la pile vénitienne reste en protections des territoire nationaux et a ordre de ne pas bouger.

A Odessa, la Flotte sort du port et fonce sur son homologue ottomane aux ordres d’Eulidj Ali en ce 1er juin 1538, c’est la bataille du golfe d’Odessa. Pas d’usure sur un dé 7-2 en colonne 1. Les vénitien sortent un dé 8 au feu +1 (différentiel de feu des amiraux) en colonne E = 10%* des 63 PF disponible soit 9 pertes ottomanes et un moral turc qui passe à 1. Les mahométans répliquent per un dé 9 = 10%* de leur 41 PF soit 6 pertes vénitiennes et un moral italien qui passe aussi à 1.

A l’abordage, les marins de la Sérénissime sortent un dé 1 en colonne A… les hommes d’Eulidj Ali un 6+1 (différentiel positif de la valeur d’abordage des amiraux présents) = 15%* soit 12 pertes vénitiennes et un moral qui passe à 0 à l’issue de ce premier jour.

L’amiral ?1 italien décide de rester, tout comme Eulidj Ali. Un dé 6 sort au feu des italiens +1 (différentiel) = 5% soit 3 pertes ottomanes. Un 6 sort pour Eulidj Ali : 5% soit 3 pertes italiennes. A l’abordage, un dé 8 sort pour les vénitiens en colonne A = 20%* soit 24 pertes turques et un moral qui passe à 0. L’amiral ottoman réplique à l’abordage par un dé 3+1 (différentiel) = 5% soit 6 pertes vénitiennes.

Les deux amiraux restent pour un troisième jour et un dé 9 sort pour l’italien +1 (différentiel) en colonne E = 10%* des 50 PF soit 6 galères ottomanes et un moral qui passe à -1. Au feu, Eulidj Ali sort un dé 1… Le troisième abordage se déroule sur un dé 2 italien en colonne A et un dé 6+1 (différentiel) turque = 15%* des 40 PF soit 6 pertes vénitiennes et un moral qui passe à -1.

Les deux piles sont en moral négatifs et sont contraintes à la retraite. Odessa pour l’amiral 1 ? italien et Constantinople pour Eulidj Ali blessé dans l’affaire pour 10 rounds… Pas d’usure navale.

Bilan navale du golf d’Odessa : match nul, 42 pertes ottomanes et un moral à -1, 33 pertes vénitiennes et un moral à -1.

Je rappelle qu’une perte sur trois est récupérée au round 5, une perte sur trois au Tour 12, soit 6 pour l’ottoman et 11 pour le vénitien. A noter dans la Fiche militaire.

Rien.

Rien. Le conquistador Almeida revient de blessure et est placé à Madras, sur le comptoir portugais.

Le navigateur ?2 reste en Océan Indien et un dé 7 sort à l’usure navale -5 (valeur de mouvement) en colonne 5 = rien.

 

Un dé 6 sort pour la fin de phase militaire qui par conséquent se prolonge d’un cinquième round.


Cinquième round (environ 1539) :

Campagne simple pour le sultan Soliman. 20 D£.

1.        Berleir Bey lève le siège de Spilt et quitte la province d’ILLYRIA pour se porter en PECS après être passé en CROATIA. 5 PM. La pile vénitienne peut réagir en tentant une interception (je lance le dé d’avance au cas où, si c’est un succès je demande au joueur avant ce qu’il veut faire évidemment, pour ne pas fausser le jeu. C’est un échec car un dé 7 est sorti).

2.        Le général ?2 quitte PECS pour ERBLAND puis MAGYAR. 3 PM. Sigismond a la possibilité d’intercepter, je procède comme là-haut à un jet à l’avance sur la Table d’Interception de la Fiche militaire : 2 = échec.

3.        Le pacha Turgut se place en GALICJA après avoir quitté CARPATHIA. 2 PM. Sigismond Jagellon a la possibilité d’intercepter ce mouvement et sort un dé 10+1 (interception en province amie) c’est un succès. Le pacha est intercepté dans son mouvement et choisit la tactique « Repli » contre une « Attaque de flanc » qui ne passe pas sur un dé 1+2 donc « Assaut » : pas de poursuite pour le vainqueur et 10% de cavalerie perdues en plus pour le défenseur en ce 4 juin 1539 et la bataille de Lodz. Le moral est vétéran côté polonais et conscrit côté ottoman.

Au feu, un dé 2 sort +3 (différentiel de feu) en colonne C = 1 perte ottomane. Au choc, Sigismond sort un dé 5+3 (différentiel de choc) +2 (double de cavalerie en plaine) = 10 en colonne A = 30%** des 115 PF polonais : 35 pertes turques et un moral qui passe à 0 ! le pacha Turgut réplique par un dé 7 et 15%* = 3 pertes polonaises et un moral qui passe à 2. Turgut explose en vol et rejoint les djinns. Le pion du pacha est éliminé.

4.        L’amiral ?4 sort en Black Sea sur un dé 3 à l’usure navale -3 (valeur de mouvement) en colonne 1 : rien. Une tentative d’interception est testée par l’arbitre sur la Flotte vénitienne (au cas où). Un dé 7-2 (intercepteur dans un port) = rien.

5.        Barberousse revient en jeu avec les restes du DN algérien à Bône en KABYLIA. Il quitte ce port pour rejoindre Constantinople en THRACIA sur un dé 7+4 (mers traversées) -5 (valeur de mouvement de Barberousse) en colonne 5-3 = rien.

6.        Le pacha Aziz quitte ADANA pour CILICIA et SMYRNA. 4 PM.

7.        Soliman quitte BUG pour AUSTRIA. 18 PM.

8.        Le khan de Crimée lève le siège de Kharkov pour se placer sur Dniepopetrovsk qu’il assiège. 2 PM.

Sur Fez, un dé 6 sort pour la pile du général algérien ?1 -1 (forteresse) +6 (usures) = 11 = « B ». Brèche. Les algériens décident de partir à l’assaut de la capitale marocaine. Le gouverneur de Fez est tiré au sort : 2.2.4.

Au feu, les algériens ouvre le bal sur un dé 7 en colonne C = 5%* soit 1 perte marocaine et un moral qui passe à 2. Les Fezzans répliquent par un dé 7+1 (différentiel de feu) en colonne A = 20%* soit un moral algérien qui passe à 2 et une perte. Les algériens sortent les échelles et partent à l’assaut des murs ébréchés sur un dé 4 en colonne B = oualou. Les marocains répliquent par un dé 4+3 (différentiel de choc) en colonne A = 15%* soit une perte algérienne et un moral qui passe à 0.

Un second jour d’assaut est décidé par le général algérien. Un dé 7 sort au feu en colonne C = 5%* soit une perte marocaine et un moral qui passe à 1. Le gouverneur de Fez réplique par un dé 9+1 (différentiel de feu) en colonne A = 30%** soit une perte algérienne et un moral à -2. Un dé 5 sort au choc pour les assaillants en colonne B soit 5% des 35 PF = 1 perte marocaine. Le gouverneur de Fez est motivé : un dé 9 sort +3 (différentiel de choc) = 40%** des 3 PF restants = 2 pertes algériennes et un moral qui passe à -4.

L’assaut sur Fez est un échec, le moral algérien étant négatif. Le général algérien est blessé pour 10 rounds…

Bilan de l’assaut de Fez : défaite turque, 5 pertes algériennes et 3 marocaines.

Une usure est testée sur Fez pour les assiégeants : un dé 10 sort en colonne 3 : 40% ! Que le joueur turc enlève 40% de ses effectifs : 21 000 hommes meurent de dysenterie ! Le DT turc est éliminé et l’armée algérienne passe au niveau « (-) ».

Sur Vienne, un dé 10 sort ! -3 (niveau de la forteresse) -2 (terrain) +1 (usure) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) +1 (valeur de siège du vizir) +1 (valeur de siège de Soliman) = 11 : « B ». Brèche ! La capitale autrichienne va subir l’assaut des ottomans de Soliman le Magnifique. La forteresse dispose de 60 PF divisés par 4 soit 15 PF. Un gouverneur autrichien est sélectionné : Hermann von Burnos : 1.1.1…

Au feu, Soli sort un dé 10+3 (différentiel de feu) en colonne C = 35%*** = 3 pertes sur la garnison autrichienne et un moral à 0. Hermann von Burnos sort un dé 6 en colonne A = 10% des 3 PF = 1 perte turque. A l’assaut, les hommes de Soliman ne veulent pas y aller… un dé 1 sort +2 = rien. Les viennois répliquent par un dé 7 = 15%* des 12 PF restants soit 2 pertes turques et un moral qui passe à 2.

Soliman décide d’un second assaut et sort un dé 5+3 (différentiel) en colonne C = 10%* soit 1 perte autrichienne et un moral à -1. Ces derniers sortent un dé 5 en colonne A = 5% = 1 perte turque. Au choc, un dé 6 sort pour le sultan ottoman +2 en colonne B = 15%* des 47 PF = 8 pertes autrichiennes et un moral qui passe à -2. Les viennois sortent enfin un dé 1, submergés ils ne réagissent plus. Vienne tombe aux mains des ottomans car le moral autrichien est négatif, la garnison a cédé.

Bilan de l’assaut de Vienne : défaite espagnole, 4 pertes turques et 11 autrichiennes. + 50 PV pour la TURQUIE.

La chute de Vienne entraîne le gain de 50 PV pour la TURQUIE. L’ESPAGNE perdra deux niveaux de Stabilité supplémentaire à la fin du tour si la capitale autrichienne n’est pas reprise d’ici la fin du Tour 10.

Que le joueur turc enlève 2 infanteries ou cavalerie supplémentaire de ses effectifs pour la garnison de Vienne. Le pion de forteresse Habsbourg de niveau 3 est retiré. Un drapeau turc est placé en AUSTRIA.

Un 4 sort pour le siège de Dniepopetrovsk en DONETSK -1 (forteresse) = rien. Un dé 8 sort à l’usure des assiégeants en colonne 1, soit *. Un dé est relancé : 10 = 20%. Que le joueur turc enlève 20% d’usure des assiégeants sur la pile tatare.

 Campagne simple pour Sigismond Jagellon de POLOGNE. 20 D£.

La pile de SMOLENSK aux ordres du général ?1 descend sur SEWERIA puis UKRAYNA pour ensuite DONETSK. 4 PM. C’est la bataille de Dnipro en ce 5 juin 1539, au beau milieu des plaines ukrainiennes, en aval du Don. L’armée polono-balte est constituée d’environ 100 000 hommes, majoritairement conscrits (moral 2), tandis que les tatares sont vétérans (3). La tactique polonaise est « Assaut », tandis que le Khan de Crimée Sahib Ier Giray a opté pour « Contre-attaque » : un bonus de +1 au défenseur sera donc appliqué.

Le général polonais pose ses batteries dans la plaine ukrainienne et entame son feu : 10 en colonne C = 20%** des 8 PF slaves soit 2 pertes tatares et un moral qui passe à 1. Pas de canons pour les tatares, donc les polonais entament le choc sur un dé 4-1 (premier jour face à un ottoman) en colonne A = rien. Le Khan réplique par un dé 7+1 (différentiel de choc des généraux présents) +1 (bonus tactique) = 25%** des 124 PF tatares : 31 pertes polonaises et un moral qui passe à 0 ! Les turcs et leurs alliés sont décidément motivés en cette année 1539 (environ). 25% des pertes doivent se faire sur la cavalerie, car nous sommes en plaine.

Au second jour, un dé 6 sort pour le général ?1 en colonne C = 5% soit une perte tatare. Au choc, les polonais chargent sur un dé 8 soit 20%* en colonne A : 21 pertes et un moral qui passe à 0 pour les tatares. Sahib Ier Giray sort un dé 9+1 (différentiel de choc) +1 (bonus tactique) = 35%** : 43 pertes polonaises et un moral à -2. Le moral passant en négatif, c’est une déroute polonaise dont l’armée est poursuivie sur un dé 2+1 (différentiel de manœuvre) en colonne E = rien. Un dé 5 sort pour la retraite en colonne 7 = 30% d’usure… 7 pertes polonaises supplémentaires. 25% des pertes doivent se faire sur la cavalerie, car nous sommes en plaine et comme il y a déroute l’artillerie est perdue (inclues dans les pertes, pas en plus).

Bilan de la bataille majeure de Dnipro : victoire majeure turque. 24 pertes turques et 81 polono-baltes. +5 PV pour la TURQUIE et une Stabilité qui remonte à 3. -5 PV pour la POLOGNE qui perd également un niveau de Stabilité, passant au niveau 0.

Les deux DT restant retraitent vers KHARKOW. 5 PM.

La pile navale des force papales et de chevaliers de l’Ordre de Saint Jean de Jérusalem sur un dé 2-2 (valeur de mouvement) en colonne 5-3 = rien à l’usure navale. Une bataille navale des anchois se déroule donc en mer Noire en ce 5 juin 1539 (environ).

Les attaquants sortent un dé 5 au feu en colonne E soit rien. Barberousse réplique par le même dé avec le même résultat. Les italo-rhodiens sortent un dé 7 en colonne A = 15%* des 39 PF alliés soit 6 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1. Barberousse à l’abordage sort un dé 4+2 (différentiel de la valeur d’abordage des deux amiraux) = 10% des 66 PF soit 9 pertes papo-rhodiennes.

Au second jour, un dé 2 sort au deuxième feu allié : rien. L’amiral Barberousse tire un 4 = rien. A l’abordage, les deux flottes s’entremêlent à nouveau sur un dé 3 allié et un dé 7 turque +2 (différentiel de la valeur d’abordage) = 25%** des 60 PF soit 12 pertes alliées et un moral à 0.

Les joueurs décident d’un troisième jour. Au feu, un dé 7 sort pour les forces alliées soit 5% des 9 PF = 3 pertes ottomanes. Barberousse réplique par un feu qui part se perdre dans le ciel sur un dé 1. A l’abordage, un dé 10 sort pour les italo-rhodiens et 30%** des 18 PF soit 6 pertes turques et un moral négatif. Barberousse réplique par un dé 9+2 (différentiel d’abordage) = 35%** des 57 PF turco-algériens = 21 pertes alliées… et deux niveaux de moral. Les deux piles perdent au moral, l’une est annihilée. L’amiral papal est blessé pour 3 rounds. Et Barberousse retraite sur Constantinople sur un dé 6 en colonne 1, soit pas d’usure navale.

Bilan de la bataille navale des anchois du 5 juin 1539 : match nul. 39 pertes papaux-chevalières et 15 turco-algériennes.

Que les joueurs turque et polonais enlèvent leurs pertes et notes bien qu’ils récupèrent un navire sur 3 au round 6 et un navire sur 3 au Tour 11.

Andrea Doria quitte la Méditerranée occidentale pour Constantinople dont il décide de bloquer le port avec sa Flotte (+) sur un dé 7+4 (mers traversées) -5 (valeur de mouvement de Doria) en colonne 5-3 = rien, pas d’usure. Le mouvement est magistral ! Quel marin ce génois.

Campagne simple pour l’ESPAGNE. 20 D£.

Le DN en Sea of Canarias se porte en Airguin Bank puis Southern Atlantic Ocean, Winward Islands, Carabean Sea et Gulf of Mexico sur un dé 1 après que l’amiral de remplacement 2.3.2 soit désigné pour ce voyage +4 (mers traversées) -2 (valeur de mouvement) en colonne 6-3 = rien, pas d’usure navale.

Le navigateur ?2 emprunte la même route en partant d’Airguin Bank sur un dé 10+3 (mers traversées) -5 (valeur de mouvement) = 20% d’usure navale soit une perte et un navire récupéré au round 6.

La pile terrestre en AZTECA embarque dans les navires en Gulf of Mexico pour 2 PM (un conquistador n’a pas besoin de port pour faire rembarquer des troupes).

En Europe, la pile du duc de Bourbon quitte SALZBURG et passe à l’offensive sur Vienne en AUSTRIA, il veut tenter le tout pour le tout en libérant la capitale impériale. 3 PM. Les 35 000 tercios vont avoir fort à faire et même s’ils sont vétérans au moral de 4, en face il y a du nombre : 83 000 vétérans, d’autant que la pile ottomane est aux ordres du sultan lui-même : Soliman le Magnifique. Bourbon choisit la tactique « Attaque de flanc » qui passe sur un dé 5+3. Soliman choisit « Contre-attaque ». Le bonus tactique est donc de +3 au 2e jour pour le duc de Bourbon.

Le duc de Bourbon choisit de placer la moitié de ses effectifs en ligne le premier jour, le reste des troupes est consacré à la manœuvre de flanc à travers la forêt viennoise.

La bataille de Vienne débute donc en ce 7 juin 1539 par le tir des batteries d’artillerie espagnole sur un dé 8-2 (forêt) en colonne C = 5% des 3 PF ibérique au feu : 1 perte ottomane. Soliman ordonne le tir à ses pièces : 2-2 (forêt) +1 (différentiel de feu)… rien. Au choc, les tercios partent à l’assaut sur un dé 1-2 (forêt) -1 (1er choc face aux ottomans), les formations serrées et les piques dans les bois, ce n’est pas pratique, ça s’emmêle : rien. Les turcs ne font pas beaucoup mieux avec un dé 4-2 (forêt).

Au second jour, les artilleurs espagnols déplacent leurs pièces et ont un meilleur champ de vision : 9-2 (forêt) +3 (bonus tactique) = 20%** des 6 PF de feu = 2 pertes turques et un moral ottoman qui passe à 1. Ces derniers sortent un 6-2 (forêt) +1 (différentiel de feu) en colonne C = 1 perte espagnole. Au choc, les tercios repartent à l’assaut et cette fois, réorganisés, sont beaucoup plus efficaces, ils abandonnent les piques pour les hallebardes : 10-2(forêt) +3 (bonus tactique) en colonne A = 35%** des 35 PF espagnols : 13 pertes ottomanes et un moral qui passe en négatif. Soliman envoie de son côté ses janissaires contrer la prise de flanc, les esclaves-soldats sont prompt à réagir sur un dé 9-2(forêt) = 15%* des 80 PF turcs : 12 pertes espagnoles et un moral qui passe à 3. 

Soliman ayant un moral négatif, il déroute et est contraint à la retraite. Il choisit de se réfugier dans Vienne pour partie avec Ali Bey, soit une Armée (+) et 1 DT qui ne subissent pas d’usure. Lui-même prend la route de la province de CARNIOLA avec une Armée (-), qui et subit 10% d’usure. 1 PM. Que Soliman enlève ses pertes de ladite Armée (-), soit 2 pertes. Une Armée (+) est supprimée, remplacée par un DT dans Vienne.  Un dé 5 sort pour la poursuite du duc de Bourbon en colonne E et cela ne donne rien.

Bilan de la bataille de Vienne du 7 juin 1539 (environ) : victoire espagnole. 17 pertes turques (dont obligatoirement 6 artilleries) et 13 pertes espagnoles.

Le duc de Bourbon pourra poser le siège sur Vienne, mais il a subit de lourdes pertes, il se sépare d’une Armée (+), contraint d’abandonner une partie de son artillerie pour faire de la place.

Les hommes de Ferdinand de Habsbourg, désormais rassemblés dans ce qui reste de l’Armée (-) du Saint Empire quittent la province de STYRIA pour AUSTRIA, rejoignant ainsi l’Armée espagnole du duc de Bourbon qui assiège Vienne. 3 PM.

Un renfort bienvenu, le siège de Vienne est donc ouvert sur un dé 7-2 (forteresse) -2 (forêt) -1 (valeur de siège du vizir) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) +1 (valeur de siège du général espagnol ?3) +1 (valeur de siège du général impérial ?4) +2 (armées réfugiées) = « usure (+) ».

Un dé 9 sort à l’usure des assiégeants -2 (valeurs de siège des généraux présents) +2 (forêt) en colonne 1 = 10% d’usure soit 3 pertes qui amenuisent encore plus les effectifs impériaux du siège de la capitale impériale. Que le joueur espagnol enlève ses pertes de sa pile.

Un dé 7 sort pour les unités réfugiées dans Vienne -1 (valeur de siège des généraux assiégés) +3 (usure (+) = 90% d’usure pour les unités réfugiées. Qu’Ali Bey enlève 90% des effectifs de sa pile réfugiée, il lui reste un DT de 4 000 hommes réfugiés dans Vienne ! La conservation de la capitale des Habsbourg coûte un bras aux ottomans, mais la situation militaire des croisés reste très compliquée en Autriche et en Hongrie. Correction : ahhhhh, l’usure des assiégés se fait au round du joueur, il faudra attendre le round 6, pardon.

François Ier décide d’une campagne passive. 10 D£.

Les deux navigateurs en Gulf of Guinea se regroupent pour tenter la découverte de la région côtière du GABON sur un dé 2-2 (moitié de la valeur de mouvement de Jacques Cartier) = S. Succès. Le navigateur français découvre donc la région GABON et un point bleu y est posé.

Henri VIII fait le choix d’une campagne passive. 10 D£.

Comme son homologue français il se contente de financer les tentatives de découvertes de son navigateur, rien de plus.

Le navigateur anglais ?3 décide de retenter la découverte de Gulf of Guinea et Coast of Angola. Un dé 1 sort -3 (valeur de mouvement du navigateur) +1 (mers traversées) = S. Succès et sans usure navale. Un point rouge est placé dans les deux mers.

 

Campagne simple pour le doge Gritti. 20 D£. Somme à déduire du Trésor Royal en ajoutant la somme de 20 D£ en cellule O148 du Tour 10.

La pile terrestre vénitienne aux ordres du général ?1 quitte sa position défensive en CARINTHIA pour CARNIOLA. 2 PM.

Les vénitiens attaquent donc l’Armée (-) aux ordres de Soliman en ce 10 juin 1539 (environ) à Lubiana. Berleir Bey tente une interception sur un dé 3 : échec. Les italiens continuent leur mouvement et adoptent la tactique « Attaque de flanc » : Cette tactique nécessite validation pour passer l’ordre sur un résultat de 8 : 7+3 (valeur de mouvement du général vénitien), l’ordre passe. Soliman choisit « Défense » : le bonus tactique sera de +4 au second jour de la bataille au profit du vénitien. Tous sont vétérans. Le général ?1 choisit d’utiliser 50% de ses effectifs le premier jour.

Au feu, les italiens sortent un dé 8 en colonne C de leur 6 PF = 10%* = 1 perte ottomane et un moral qui passe à 2. Soliman ayant perdu son artillerie, il n’y a pas de phase de feu pour lui. Au choc, les vénitiens sortent un dé 4 en colonne A soit 5% des 32 PF = 2 pertes turques. Ces derniers sortent un dé 1+2 (cavalerie) = rien.

Soliman décide d’en rester là, car il vient de s’apercevoir de la prise de flanc et ne veut pas se la prendre, il retraite donc en PECS sur un dé 3-3 en colonne 7 = pas d’usure. La poursuite se fait sur un dé 1, donc rien en colonne E.

Bilan de la bataille de Lubiana du 10 juin 1539 (environ) : victoire vénitienne. 3 pertes turques (dont 25% de cavalerie).

Le vénitien ajoute un point en cellule G72 de sa fiche militaire.

La Flotte (+) quitte Odessa - avec Grimani revenu de ses blessures aux commandes – pour Ionian Sea sur un dé 3-4 (valeur de mouvement de Grimani) en colonne 5-3 = pas d’usure navale.

La lutte contre les corsaires est entamée par Grimani sur un dé 8+4 (valeur de mouvement de Grimani) +4 (Flotte) +1 (DN) -1 (corsaire (-)) -1 (corsaire (-)) = élimination d’un corsaire barbaresque.

Les vénitiens entament le siège de Günns : un dé 10 sort -2 (forteresse de niveau 2) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) = « Brèche ». Le niveau de la forteresse de 2 laisse 40 PF, mais la brèche entraîne une division par 4 de la force de la garnison de Günns, soit 10 PF. Le gouverneur turc est désigné au hasard : 1.1.1.

Au feu, les canons vénitiens tonnent dans la plaine sur un dé 9 +2 (différentiel de la valeur de feu) en colonne C = 20%** des 12 PF = 2 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1. La garnison réplique par un feu précis sur un dé 10 en colonne A = 30%** des 4 PF de Günns = 2 pertes vénitiennes et un moral qui passe à 1. Au choc, les vénitiens se lancent à l’assaut des murs de la cité sur un dé 4+2 (différentiel de choc) en colonne B = 10% des 38 PF italiens disponibles (la cavalerie ne compte pas) soit 4 pertes ottomanes. Ces derniers sortent un dé 6 en colonne A = 10% des 8 PF de la garnison : 1 perte vénitienne supplémentaire.

Le doge Gritti choisit de renouveler l’assaut une seconde fois, l’artillerie de la Sérénissime tonne à nouveau et un dé 5 sort +2 (différentiel) = 5%* des 12 PF = 1 perte ottomane et un moral à 0. La garnison turque réplique sur un dé 1. A l’assaut, les vénitiens font un dé 7+2 (différentiel) en colonne B : 20%* des 37 PF = 8 pertes turques et un moral qui passe en négatif. Les ottomans se défendent avec vigueur et sortent un dé 10 en colonne A : 4 PF x 30%*** = 2 pertes italiennes et moral à -2 mais la garnison et le moral des défenseur a explosé. Günns est reprise par les vénitiens ! Le drapeau turc est retiré de la province.

Bilan du siège de Günns : victoire vénitienne pour 5 pertes.

Le vénitien ajoute 1 point en cellule G74 de sa Fiche militaire pour la reprise de la capitale de la CARNIOLE.

Le petit, toujours sous la tutelle de la belle Hélèna, joue aux osselets pendant que sa môman.

Jean III se décide à bouger. Une campagne simple de 20 D£.

Tout d’abord, Albuquerque rejoint Goa. 18 PM.

Ensuite, la Flotte (-) en Eastern Idian Ocean se porte en Straits of Sunda pour un dé 5 à l’usure navale -5 (valeur de manœuvre du navigateur) en colonne 4 = pas d’usure. Le navigateur tente la découverte de Sea of Java sur un dé 3-5 c’est un succès ainsi que sur un dé 2-3 (valeur de manœuvre divisée par deux arrondis au supérieur) pour la découverte de la région côtière d’AMBONIA. Un point beige est apposé dans la mer et la région.

Le général lusitanien ?1 à Tanger quitte la province pour se porter sur la pile du pacha Djamil en train d’assiéger Fez. La bataille d’Aï el Glaoui Safémal se déroule dans la plaine du Rif, grenier à blé du Maroc en ce 16 juin 1539. 2 PM. Le général portugais choisit la tactique « Assaut » pour ses conscrits. Djamil choisit la tactique « Défense étendue » pour sa pile de 44 000 conscrits (moral 2). Pas de bonus tactique.

Les porto-marocains sortent un dé 1 au feu +2 (différentiel) en colonne C = rien. Le pacha Djamil sort un dé 3 = rien. Au choc, un dé 3 sort +2 (différentiel de choc des généraux) -1 (ottomans le 1er jour) = 5% des 57 PF de l’assaillant = 3 pertes algéro-turques. Les turquo-algériens sortent un dé 5 = 5% des 64 PF = 4 pertes porto-marocaines. 25% des pertes sont prises sur la cavalerie.

Au second jour, l’artillerie portugaise sort un dé 1+2 = rien. Djamil sort un dé 8 en colonne C = 10%* = 1 perte lusitano-marocaine et un moral qui passe à 1. Au choc, un dé 9 sort pour ces derniers +2 (différentiel) en colonne A = 35%** des 50 PF portugais = 18 pertes (dont 5 cavaleries) et un moral qui passe à 0 pour les algériens. Un d » 5 sort pour le pacha Djamil = 5% des 59 PF = 3 pertes portugaises.

Un troisième jour est décidé. Les canons portos tonnent sur un dé 4+2=6 en colonne C = 5% des 6 PF soit 1 perte turque. Les pièces algériennes répliquent sur un dé 10 = 20%** soit 1 perte maroquo-portugaise et un moral qui passe en négatif. Au choc, le général portugais sort un dé 9+2=35%** des 47 PF disponibles = 17 pertes algéro-turques (dont 5 cavaliers) et un moral à -2. Le pacha Djamil fini en beauté sur un dé 8 en colonne A = 20%* soit 7 pertes lusitano-marocaines (dont 2 cavaliers) et en moral qui passe à -2.

Les deux ennemis sont en négatifs et retraitent donc tous les deux vers la ville amie la plus proche. Fez pour l’armée portugaise, Oran pour les algériens. Djamil est éliminé. Les algériens subissent une usure sur un dé 9 en colonne E soit 10% = 1 perte supplémentaire.  

Bilan de la bataille d’Aï el Glaoui Safémal du 16 juin 1539 : victoire majeure portugaise. 16 pertes portugaises (dont 4 cavaleries et 1 artillerie) et 39 pertes turques (dont 10 cavaleries et 1 artillerie). +5 PV et +1 Stabilité pour le PORTUGAL, -5 PV pour la TURQUIE et baisse de la Stabilité d’un niveau.

Que le joueur portugais note un point de situation militaire dans le tableau de la Fiche militaire (cellule G72).

 


Sixième round (environ 1539) :

Soliman le Magnifique déclare une campagne multiple ! 100 D£.

C’est la seconde campagne multiple du tour 10, le sultan ottoman dépense sans compter, espérant asphyxier ses adversaires.

1.        Le Khan de Crimée Sahib Ier Giray quitte la province de DONETSK pour KARKHOW, délaissant le siège de Donetsk. Le général polonais tente la retraite avant combat sur un dé 6 : échec, il y aura donc une bataille en ce 17 juin 1539 à la bataille de Zmiiv. Le moral polonais est conscrit et la tactique adoptée « Repli » tandis que les tatares sont vétérans et la tactique du khan « Attaque par échelons », soit un bonus tactique de +1 au défenseur et pas de poursuite.

Pas de phase de feu, puisqu’il n’y a pas d’artillerie de chaque côté et donc, au choc, les tatares sortent un dé 6+1 (différentiel de choc) en colonne A, il n’y a pas de double de cavalerie : 15%* des 90 PF tatares = 14 pertes polonaises et un moral à 1. Les slaves sortent un dé 4+1 (bonus tactique) = 5% des 38 PF = 2 pertes tatares.

Le polonais se repli le deuxième jour, il retraite donc sur un dé 2-3 (valeur de mouvement du général ?1) = rien.

Bilan de la bataille de Zmiiv du 17 juin 1539 : défaite polonaise, 14 pertes polonaises et 2 pertes tatares.

Que le joueur ottoman note un point de situation militaire dans le tableau de la Fiche militaire (cellule G72).

2.        La pile en MAGYAR se divise en deux, une Armée (-) part sur Presburg en ERBLAND, rejoignant les pachas Israf et Ismaël, ainsi que le DT algérien qui se portent sur Vienne en AUSTRIA. 5 PM. Le duc de Bourbon espère que sa valeureuse armée tiendra, il accepte de relever le gant en ce 17 juin 1539 à la seconde bataille de Vienne. Israf décide de la tactique « Assaut » pour les 90 000 ottomans conscrits (moral 2) et le duc de Bourbon opte pour une « Défense étendue » pour ses 25 000 vétérans (moral 3). Pas de bonus tactique.

Les canonniers turcs mettent en place leurs pièces et ouvrent le feu sur un dé 7+1 (différentiel de la valeur de feu) -2 (forêt) en colonne C = 5% des 2 PF : 1 perte espagnole. Un dé 4-2 (forêt) = rien. Au choc, un dé 2+1 (différentiel de choc des généraux) -2 (forêt) = rien pour Israf. Le duc de Bourbon réplique par un dé 1-2 (forêt) -1 (1er round contre un ottoman) = rien.

Deuxième jour, l’artillerie ottomane sort un dé 4-2 (forêt) +1 (différentiel) = rien. Les impériaux sortent un dé 7-2 (forêt) = 5% des 4 PF soit 1 perte ottomane. Israf repart à l’assaut sur un dé 8-2 (forêt) +1 (différentiel) en colonne A = 15%* des 100 PF disponibles, soit 15 pertes espagnoles et un moral qui passe à 2… Le duc de Bourbon réplique par un dé 10-2 (forêt) = 20%* des 24 PF soit 5 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1.

Le duc de Bourbon décide d’en rester là, il ne pourra de toute façon plus continuer le siège de Vienne, vu les pertes encaissées. Il retraite donc sur Linz en SALZBURG. 3 PM. Un dé 6 sort à l’usure -1 (province amie) -3 (mouvement du Duc) = * On relance et un dé 10 sort -1-3 = 6 soit 40% d’usure supplémentaire, soit 4 pertes supplémentaires (dont une artillerie). Un dé 10 à la poursuite sort +2 en colonne E = 20%... Le pion est enlevé. Un dé 8 sort à la blessure des généraux pour Bourbon -5 = 3, il en réchappe. Idem pour Israf.

Bilan de la seconde bataille de Vienne : défaite espagnole avec 27 pertes et 6 pertes ottomanes.

Que le joueur ottoman note un point de situation militaire dans le tableau de la Fiche militaire (cellule G72).

3.        L’Armée (-) restante en MAGYAR se porte sur PECS ou elle est absorbée par une des armées (-) présente sur place, puis la pile aux ordres du sultan constituée de deux Armées (+) se porte sur la CARNIOLA pour attaquer la pile vénitienne. 4 PM. Soliman le Magnifique regroupe 100 000 vétérans (moral 3) et la tactique « Attaque de flanc », confirmée par un dé 5+3=8 qui le valide. Le général ?1 vénitien choisit « Défense étendue » pour ses 45 000 vétérans. Les soldats de la république bénéficieront d’un +2 au dé. 

Les ottomans ont choisi de réserver 50% de leurs effectifs à leur ligne de bataille, le reste interviendra avec la prise de flanc au second jour. Les artilleurs de Soliman se mettent en batterie et envoient un dé 6+1 (différentiel de la valeur des généraux présent) en colonne C = 5%* des 3 PF = 1 perte italienne et un moral qui passe à 2. Ces derniers, sortent un dé 5 : 5% des 8 PF : 1 perte ottomane. Au choc, Soliman fait un dé 7+2 (bonus de cavalerie en double en plaine) = 25%** des 79 Pf turques : 20 pertes italiennes (dont 5 cavaleries) et un moral qui passe à 0. Le général vénitien sort un dé 4+2 (bonus tactique) = 10% des 61 PF = 7 pertes ottomanes (dont 2 cavaleries).

Les vénitiens décident de retraiter vers la province de STYRIA sur un dé 2-3 (valeur de mouvement du général vénitien) = rien. La poursuite est de 10% sur un dé 8+1 en colonne E, soit 8 pertes supplémentaires pour le vénitien (dont 4 cavaleries). Soliman le Magnifique est blessé pour 10 rounds. Il a chargé plusieurs fois à la tête de ses sipahis et entre la neuvième et la dixième charge il s’est prit une balle d’arquebuse à un endroit que nous tairons. Berleir Bey le remplace au commandement de la pile.

Bilan de la bataille de Rumberg : 29 pertes vénitiennes (dont au moins 9 cavaleries et 1 artillerie) et un moral à 1, 8 pertes ottomanes (dont 2 cavaleries obligatoirement).

Que les joueurs enlèvent leurs pertes de leur Fiche militaire. La pile vénitienne est désormais constituée de deux Armées (-). Que le joueur ottoman note un point de situation militaire dans le tableau de la Fiche militaire (cellule G72).

4.        Barberousse tente l’évasion du port de Constantinople sur un dé 7. Raté, Doria continue à bloquer la flotte ottomane.

Le siège de Günns est ouvert sur un dé 7-2 (forteresse) +1 (artillerie) +2 (artillerie) = 8 soit « usure (+) ». Un dé 7 sort pour l’usure des troupes assiégeantes sur la colonne 1 = rien.

Sigismond décrète une campagne simple. 20 D£.

L’hetman Jan Tarnowski quitte la province de VOLHYNIA d’où il couvrait la frontière Sud du royaume, pour se porter en UKRANYA puis en KARKHOW pour bouter le Khan de Crimée Sahib Ier Giray de la région. 3 PM. Le khan de Crimée accepte la bataille en ce 19 juin 1539, dans la plaine des quatre vents. Tarnowski choisit la tactique « Attaque de flanc ». Un dé 3 sort +5 (valeur de mouvement de l’Hetman), l’ordre passe. Le khan des tatares de Crimée opte pour « Défense étendue », il a senti le vent venir ! Le bonus tactique sera donc en faveur du défenseur : +2. Le moral tatar est vétéran et celui des slaves aussi, soit 3.

L’artillerie polonaise se met en place, elle n’a pas d’adversaire, les tatares ne possédant pas de canons. Un dé 6 sort +1 (différentiel positif de la valeur des généraux) en colonne C = 5%* : 1 perte tatare et un moral qui passe à 2. Au choc, un dé 4 sort en colonne A = 5% des 74 PF polonais : 4 pertes tatares (dont 1 en cavalerie). Sahib 1er réplique à Jan par un dé 4+2 (bonus tactique) = 10% des 87 PF tatares : 9 pertes polonaises (dont 3 en cavalerie).

Tarnowski et Giray décident de rester et par conséquent, les canons slaves re-tonnent dans la plaine ukrainienne : un dé 10 sort +1 (différentiel de la valeur de feu des généraux présents) = 20%** des 8 PF d’artillerie polonaise soit deux pertes tatares et un moral qui passe à 0. Au choc, l’hetman polonais sort un dé 6 soit 10% = 14 pertes tatares (dont 4 de cavalerie). Le khan Sahib Ier réplique par un dé 1+2 (bonus tactique) = rien.

Le khan Sahib Ier décide d’en rester là, voulant éviter la déroute et surtout une défaite majeure, il opère une retraite vers la CRIMEE sur un dé 6-4 (valeur de mouvement du khan) = * Le dé est relancé : 9-4 = 5 en colonne 7 de la Table de risque des mouvements = 30% d’usure d’usure pour la pile tatare, soit 10 pertes supplémentaires (dont 3 cavaliers). Que le joueur turc enlève ses pertes de sa pile. A la poursuite, Jan sort un dé 2+1 en colonne E = rien. 3 PM.

Bilan de la bataille de la plaine des quatre vents : victoire polonaise. 31 pertes tatares (dont 8 de cavaleries), 9 pertes polonaises (dont 3 cavaleries).

Que le joueur polonais note un point de situation militaire dans le tableau de la Fiche militaire (cellule G72).

Le Grand Maître des Chevaliers de l’ordre de Saint Jean de Jérusalem Juan de Homedes quitte la province vénitienne de RAGUSA pour se porter en territoire ottoman au KOSSOVO. 3 PM. Le pacha Mustapha tente une interception qui échoue sur un dé 1. Le Grand Maître choisit la tactique « Assaut » pour ses 20 000 vétérans (moral 3), tandis que le pacha Karim opte pour une « Défense » pour ses 17 000 bachi-bouzouks au moral de conscrit (2). Pas de bonus tactique donc pour cette bataille de Prizren en ce 19 juin 1539.

Pas de feu, étant donné que nous n’avons que des Détachements. Au choc, les assaillants sortent un dé 5-2 (forêt) = rien. Les défenseurs sortent un dé 10-2 (forêt) en colonne A = 20%* des 17 PF timariotes soit 4 pertes papo-chevalières et un moral à 2.

Un second jour est décidé par les deux ennemis : Juan de Homedes sort un dé 7-2 (forêt) = 5% des 16 PF soit une perte ottomane. Le pacha Karim sort un dé 5-2 (forêt) en colonne A = rien.

Un troisième jour est décidé et un dé 3 sort -2 (forêt) pour les italo-rhodiens et un dé 1-2 pour les turques.

Au quatrième jour, rien.

Cinquième jour 7-2 pour Juan = 5% des 16 PF = 1 perte ottomane et 3-2 pour Karim Pacha…

Sixième jour 2 pour Juan et 7-2 pour Karim = 5% soit 1 perte turque.

Septième jour un dé 5 sort pour Juan -2 = rien, un dé 10-2 (forêt) pour le pacha et ses 15 PF soit 20%* = 3 pertes et un moral à 1 pour les croisés.

Huitième jour, un dé 10-2 (forêt) sort pour les chrétiens soit 20%* des 13 PF disponibles soit 3 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1, tandis que le pacha sort un dé 4-2= rien.

Neuvième jour un dé 10 sort pour les croisés -2 (forêt) = 20%* soit à nouveau 3 pertes ottomanes et un moral à 0. Karim réplique par un dé 9-2 (forêt) = 15%* soit 2 pertes croisées et un moral à 0.

Dixième jour : dé 3-2 pour les latins et 5-2 pour les muslims…

Onzième jour : 4-2, et 6-2 pour Karim soit 5% des 8 PF = 1 perte papale.

Douzième jour de bataille : 2-2, 6-2 re 1 perte papale.

Treizième jour : 10-2 (forêt) pour le Grand-Maître Juan de Homedes = 20%* des 9 PF restants soit 2 pertes ottomanes et un moral qui passe en négatif pour le pacha Karim. Il réplique par un dé 2-2, soit rien. Le pacha est éliminé mais cependant, les croisés ne sont plus assez nombreux pour rester sur le KOSSOVO et couvrir Nish, ils sont obligés de se replier sur Raguse et subir une usure puisqu’ils passent à 6 PM.

Bilan de la bataille de Prizren en ce 19 juin 1539 : victoire polonaise. 11 pertes papales, 11 pertes ottomanes.

Que le joueur polonais note un point de situation militaire dans le tableau de la Fiche militaire (cellule G72).

L’usure est de 8-1 en colonne 7 soit 50% soit 5 pertes croisées supplémentaires. Que le joueur polonais enlève les pertes de sa Fiche militaire.

Doria reste sur le blocus de Constantinople, un dé 5 à l’usure navale -5 (valeur de mouvement de l’amiral gènois) en colonne 4-3 = pas d’usure.

Campagne simple pour l’ESPAGNE. 20 D£.

Le général ?2 Habsbourg d’Autriche rejoint la pile à Prague, le ?4 reste à Olmutz. Bourbon rejoint Naples et le général espagnol ?3 reste à Linz.

Outre-mer, De Soto se place sur la mine en AZTECA, à la frontière de SONORA. La pile navale quitte Gulf of Mexico pour rejoindre la péninsule ibérique à Cadix sur un dé 4+5 (mers traversées) -5 (valeur de mouvement du navigateur) en colonne 6-3 = pas d’usure.

Enfin, Coronado décide d’attaquer les 2 000 guaranis survivants et se porte au Sud de GUYANA pour 6 PM sans usure car il fait un 1-5 (sa valeur de mouvement). Il décide d’utiliser à nouveau la Table des conquistadors contre les indigènes en GUYANA mais sans succès sur un dé 10… il attaque les amérindiens survivants avec une tactique d’assaut, ayant raté sa prise de flanc contre un « Défense » classique du chef guarani. Sur un dé 10-2 (forêt) en colonne A = 20%* de ses 12 PF espagnols, 3 pertes indigènes et un moral à 0. Ceux-ci répliquent par un dé 9-2 (forêt) +3 (différentiel de choc) = 30%** des 2 PF soit 1 perte espagnole et un moral qui passe à 2.

Il n’y aura pas de deuxième jour, car les indigènes ont été entièrement détruits.

Si les espagnoles ont fait place nette sur le continent américain, il n’en est pas de même en Europe Centrale ou Soliman le Magnifique a pour l’instant pris deux provinces aux croisés en plus de la HONGRIE ! La Sainte Alliance Catholique a subi de lourdes pertes et ne semble plus être en mesure de reprendre le terrain perdu.

Campagne simple pour François Ier. 10 D£.

Le navigateur Jacques Cartier tente la découverte de Coast of Angola sur un dé 8-4 (valeur de mouvement du navigateur) = S* 30% d’usure navale. C’est donc un succès avec quelques pertes (1 navire sur trois récupéré au rond 7 et 1 sur 3 au Tour 11). Un test de « Disparitio » est effectué et Jacques Cartier est blessé pour 3 rounds.

Campagne simple pour Henri VIII. 20 D£.

Le mercenaire récupéré, il l’utilise sur la Table des conquistadors pour faire un dé 6 sur la seconde colonne soit D10/R90 soit un résultat de 10% des indigènes détruits (2) et le reste qui résistent : 12 000. Les 8 000 vétérans du mercenaire Gondolfo de la Plaizançia attaquent les indigènes en « Assaut » qui eux, sont en « Défense » avec le chef indigène Tahamitonslipalenverh de 1.0.4. Pas de bonus tactique donc pour les protagonistes de la bataille du petit bois de la truie pleine en ce 22 juin 1539.

Pas de feu pour Gondolfo de la Plaizançia qui s’en va au choc sur un dé 8 en colonne A -2 (forêt) = 10% des 8 PF disponible soit 1 perte pour les algonkins de Tahamintonslialenverh. Ce dernier, réplique par un dé 6+2 (différentiel de choc) -2 (forêt) en colonne B = 10% de ses 12 PF soit 2 pertes anglaises pour ce premier jour.

Au second jour, Gondolfo de la Plazançia soert un dé 5-2 = rien. Le chef algonkin sort un dé 6-2 (forêt) = rien en colonne B.

Troisième jour, l’anglais sort un 2… et l’autochtone un 3… rien. Un quatrième jour après cette partie de cache-cache en forêt nous donne un 9-2 (forêt) pour Gondolfo = 15%* des 6 PF qui lui restent soit 1 perte indigène et surtout un moral à 0. Tahamitonslipalenverh, le chef algonkin, réplique par un dé 4-2+2 soir en colonne B (ben oui, il est en « Médiéval », je l’avais pas écrit) = nada.

Le chef algonkin décide de retraiter dans la province plus au Sud des Grands-Lacs, afin de mieux revenir au rond 7 s’il y en a un.

Bilan de la bataille du petit bois de la truie pleine du 22 juin 1539 : victoire anglaise et 2 pertes chacun.

Plus au Sud Est, le long des côtes ouest-africaines, le navigateur anglais ?3 décide de tenter la découverte de Cape of Good Hope et Cape of Storm sur un dé 1+1+1 (cercles vert) -3 (valeur de mouvement du navigateur) = S ! Succès grandiose de l’anglais qui prouve ici de grands talents de marin, car aucune usure n’est subie par ses équipages. Un point rouge est posé sur ces deux mers.

 Campagne paqsive pour le doge Gritti. 10 D£. Somme à déduire du Trésor Royal en ajoutant la somme de 20 D£ en cellule O148 du Tour 10.

La Flotte de l’amiral Grimani sort un dé 1 à l’usure navale -4 en colonne 5-3 : rien. Un dé 8 ensuite à la lutte contre les corsaires barbaresque +4 (Grimani) +4 (Flotte (+)) +1 (DN) -1 (corsaire (-)) = élimination du dernier corsaire en ZM Ionian Sea. Le pion barbaresque est enlevé de la carte.

Rien pour le petit Ivan.

Jean III choisit une campagne passive de 10 D£.

Le navigateur en Sea of Java se porte en Sea of Philippine sur un dé à l’usure navale de 5 -5 (valeur de mouvement) en colonne 5, soit rien. Il tente ensuite de découvrir la Sea of Formosa sur un dé 6-5 = S, « Succès ». Un pion beige est apposé sur la Sea of Formosa.

Un dé deux sort, par conséquent la phase militaire s’arrête.

 

 

Phase de redéploiement :

 

Prospérité :

La TURQUIE repasse au niveau 3 malgré l’état de guerre, Soliman possède un empire dynamique. Du côté de la POLOGNE, Sigismond reste à 0. Charles Quint voit son empire d’ESPAGNE rester en Stabilité 2, tandis que la FRANCE de François Ier est au niveau maximum. Henri VIII passe au niveau 3 pour l’ANGLETERRE. Pour la République de VENISE, le doge Gritti voit sa Stabilité stagner à 0, tandis que pour la RUSSIE d’Ivan III reste en Stabilité -1. Enfin, Jean III reste en Stabilité 3 pour le PORTUGAL, à noter qu’il a réussi l’exploit en pleine Croisade de voir son économie prospérer.

 

Pillage :

Le sultan Soliman a la possibilité de piller trois provinces des Habsbourg : AUSTRIA, CARNIOLA et ERBLAND pour 15 D£ (x 2) et ne s’en prive pas ! Il ajoute donc la somme de 30 D£ en cellule F49 de sa Fiche Budget.

 

Attaque des pirates et corsaires :

Un dé 1 et un dé 4 sort pour le corsaire ottoman en Mer Noire -1 (corsaire (-) = 6 niveaux de flottes de commerce éliminés. La Flotte de commerce vénitienne disparaît donc de la ZM Black Sea et perd 3 niveaux qui rapportent 6 D£ aux ottomans qu’ils ajoutent dans la cellule F49 de leur Fiche budget. Que le joueur vénitien note qu’il ne possède plus de Flotte de commerce en ZM Black Sea pour le Tour 11 et qu’il enlève donc sa flotte commerciale du Tableau J25 de l’onglet du Tour 11.

 

Extension des révoltes :

Rien, aucune révolte sur la carte.

 

Levée des sièges et usures :

Tous les sièges n’ayant pas atteint le niveau usure (+) doivent être levés. En l’occurrence, aucun ici, puisque seul un siège est en cours, celui de Günns en CARNIOLA. Il perdure donc, étant au niveau (+), cependant l’usure du siège rétrograde désormais au niveau (-). Un dé d’usure des assiégeants est lancé : 9 sur la colonne 5 : 50% de pertes pour les hommes de Berleir Bey ! Que le sultan Soliman enlève ses pertes de sa Fiche militaire.

 

Retour des unités navales aux ports et usure :

Andréa Doria rentre au port ami le plus proche (Odessa) sur un dé 6-5 en colonne 1, pas d’usure.

Grimani se place à Corfou après un dé 3-4 en colonne 5-3.

 

Encaissement de l’or rapatrié :

La Flotta de Oro ayant rejoint Cadix et le convoi de Smyrne Marseille, l’Espagne reçoit dans ses caisses le produit non négligeable de ses mines américaines et la France celui des produits exotiques d’Orient. Que François Ier, Soliman le Magnifique, ainsi que Charles Quint note la somme en F50 de la Fiche budget, si cela n’est pas déjà fait.

 

Phase de Paix :

 

Mise sur la Stabilité :

Les différents monarques misent pour augmenter leur Stabilité, pour ceux qui ne sont pas au niveau maximum de 3 (Soliman, Henri VIII, François Ier et Jean III). Je rappelle que vous devez consulter attentivement la Table de mise de la Stabilité en N119 de l’onglet du Tour 10 avant de miser et n’hésitez pas à faire une simulation dans celle-ci.

Sigismond claque le budget et augmente sa Stabilité de deux niveaux, passant en case 2. Charles Quint ne mise pas, il reste donc en case 2. Son Excellence le doge de VENISE remonte au niveau 1 tandis qu’Ivan IV, à travers sa môman mise aussi, mais c’est un échec, la Stabilité russe reste à -1.

 

Résultat :

Stabilité 3 : FRANCE, TURQUIE, ANGLETERRE, PORTUGAL.

Stabilité 2 : POLOGNE et ESPAGNE.

Stabilité 1 : VENISE.

Stabilité 0 : -

Stabilité -1 : RUSSIE.

Stabilité -2 : -

Stabilité -3 : -

 

Les Stabilités actualisées, les négociations peuvent débuter. Pour cela, il faut que Soliman, Sigismond, Charles Quint, Ivan IV (enfin sa mère, la belle Helena) et Jean III me donnent leur situation militaire (cellule G75 de la Fiche militaire), afin que je la communique à tout le monde.

Situation militaire des protagonistes de la Croisade :

TURQUIE : 18.5 (le maximum est 3 ou 5 si on contrôle une capitale d’un joueur adverse…).

POLOGNE : 6 (le maximum est 3 ou 5 si on contrôle une capitale d’un joueur adverse…).

ESPAGNE : 2.

VENISE : 3.

RUSSIE : 0.

PORTUGAL : 1.

Bref, cela fait un 3 de Situation Militaire pour chacune des deux alliances.

 

Avec la situation militaire de votre adversaire, vous allez pouvoir obtenir votre DSSM (Différentiel de Stabilité et de Situation Militaire) en remplissant le tableau en cellule M5 de la Fiche paix de votre Feuille de jeu. Ce DSSM va pouvoir vous donner le niveau de paix formelle exigible, s’il vous est favorable.

Evidemment, pour un paix informelle ce calcul n’a pas lieu d’être mais mieux vaut y procéder quand même, afin d’avoir toutes les cartes en main pour la négociation.

Précision : deux alliances se font face, la TURQUIE/RUSSIE (Situation Militaire de 18.5+0 = 18.5) et la POLOGNE/ESPAGNE/VENISE/PORTUGAL (Situation Militaire de 6+2+3 ? +1= 12). Le meilleur des deux camps sera sélectionné pour représenter son alliance dans les négociations et ainsi utiliser sa Stabilité : la POLOGNE pour les croisés et la TURQUIE pour l’Alliance russo-turque.

 

Différentiel de Stabilité et de Situation Militaire :

La POLOGNE étant en Stabilité 2 et la TURQUIE en Stabilité 3, le DSSM est donc de 1 en faveur de Soliman qui a la possibilité de revendiquer une Paix Conditionnelle de niveau 1 à son profit.

C’est au roi de POLOGNE Sigismond en tant que représentant de la Croisade de proposer une Paix Conditionnelle de niveau 1 (paix formelle) à l’alliance russo-turque, en accord avec les autres souverains. Que le roi de POLOGNE se rapproche – après lecture de la Fiche paix (cellule A26) de ses alliés que sont Charles Quint, le doge Gritti et Jean III afin de trouver une proposition qui leur convient.

Une fois la paix conclue, si elle est formelle, charge aux souverains de chaque alliance de s’entendre pour se répartir les pertes territoriales et financières, ainsi que les gains. La Paix rapportera et fera perde des PV à chacun et la Stabilité remontera d’un niveau pour tous les signataires.

Si une paix informelle est signée, aucun PV n’est gagné/perdu et un niveau de Stabilité est gagné pour tous.

 

Négociations :

  

Après de longues négociations, les croisés, à travers leur représentant Sigismond Jagellon de POLOGNE décident de proposer à Soliman le Magnifique et Ivan IV/Helena Glinskaïa, une Paix Conditionnelle de niveau 1 avec pour indemnité la province Habsbourg d’ERBLAND.

Après consultation de son allié russe l’autorisant à proposer une paix ou à continuer la guerre, le sultan ottoman Soliman doit se décider. Trois possibilités : faire une contre-proposition aux croisés, accepter la paix, ou continuer la guerre.

Le souverain turc choisit la première possibilité : la contre-proposition et demande la province de CARINTHIA avec sa mine d’or comme indemnité et au lieu de celle d’ERBLAND.

Charles Quint décide de ne pas céder à cette demande qu’il considère disproportionnée. La Croisade continue donc après l’échec des négociations de paix et la volonté de l’ensemble des croisés de soutenir le conflit contre l’empire ottoman et son allié russe. (Que Jean III me confirme tout de même qu’il ne veut pas faire de paix séparée).

 

Chaque état participant à la Croisade et n’ayant pas réussi à faire la paix, perd deux niveaux de Stabilité.

 

 

Interphase :

 

Mort et placement des chefs :

Les chefs blessés reviennent sur la carte, à savoir le général ?1 Habsbourg à Linz, l’amiral ?4 mineur à Ancône, Jacques Cartier l’explorateur sur la pile en Coast of Angola, l’amiral Euldj Ali à Constantinople ainsi que le sultan.

Aucun personnage historique ne disparaît ni n’apparaît en cette fin de Tour 11 (1535-1539).

Cinq pachas doivent réapparaître pour le turc : Saleh, Abdallah, Amar, Turgut et Djamil.

 

Inflation :

L’inflation bouge d’une case à droite et reste à 5%. Que les joueurs calculent l’inflation et la retire de leur Fiche budget (cellule F54).

 

Calcul des Points de Victoires :

1.        PORTUGAL : 178 PV +1 PV de monopole partiel en ZM Indian Sea +6 PV de monopole total des ressources exotiques esclaves, produits d’Orient +5 PV de la victoire majeure d’Aï el Glaoui Safémal du 16 juin 1539 +1 PV (Stabilité) = 191 PV.

 

2.        ESPAGNE : 174 PV -5 PV pour la défaite majeure du Mont Tabor du 13 avril 1535 -2 PV (Stabilité) = 167 PV.

 

3.        ANGLETERRE : 137 PV +3 PV (Stabilité) = 140 PV.

 

4.        VENISE : 130 PV + 6 PV de monopole commercial total en ZM Adriatic Sea et ZP Nederland + 5 PV de monopole commercial partiel -1 PV (Stabilité) = 140 PV.

 

5.        FRANCE : 125 PV +3 PV (Stabilité) = 128 PV.

 

6.        TURQUIE : 66 PV +1 PV de monopole commercial partiel en Sea of Oman +50 PV (prise de Vienne) +5 PV (victoire majeure du Mont Tabor) -5 PV (défaite majeure d’Aï el Glaoui Safémal) +5 PV (victoire de Dnipro) +1 PV (Stabilité) = 123 PV.

 

7.        POLOGNE : 77 PV -5 PV pour la défaite majeure de Dnipro du 15 juin 1539 = 72 PV.

 

8.        RUSSIE : 64 PV -3 PV (Stabilité) = 61 PV.

 

Le PORTUGAL conserve la tête du classement avec 25 PV d’écart par rapport à l’ESPAGNE qui elle, régresse, la faute à une campagne militaire à la limite du désastreux pour Charles Quint. L’ANGLETERRE et VENISE sont au coude à coude en troisième position, tandis que la FRANCE se voit presque rattrapée par la TURQUIE. En effet, cette dernière double quasiment son résultat avec sa campagne militaire victorieuse. POLOGNE et RUSSIE ferment la marche et régressent à cause de la Croisade qui ne leur a pas été favorable du tout pour ces années 1535-1539.

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